C'est dans la rue que chacun peut entendre battre le cour d'une ville ou d'un village. S'il faut un toit pour s'abriter, dormir, cultiver son identité, partager le pain, l'amitié et l'amour, la rue seule peut donner à chacun son plein d'épanouissement, sa véritable autonomie, son propre développement, sa culture et son espérance. L'Afrique connait actuellement un taux de progression de l'hurbanisation, supérieure à celui des aures continents. 60% de la population est composée de jeunes de moins de 25 ans. En l'an 2025 Dakar qui compte aujourd'hui 2.000.000 d'habitants, aura 3.000.000  de jeunes.

Les jeunes ont perdu  la fonction sociale qui était la leur dans la société traditionnelle. Les places sont extrémement limitées pour les jeunes dans les filières de formation scolaires ou technique. La jeunessse recéle en elle une énergie immence qui au lieu d'être consacrée à la construction, risque d'être d'estructrice. Ces enfants ne bénéficient d'aucun statut l'égale, ce qui ls rend vulnérables face aux différentes formes d'exploitations et face à la loi. Au Sénégal, il existe depius 12 ans, un programme de formation poour les jeunes et enfants de la rue. Aussi, un projet de formation pour l'ensemble des jeunes d'Afrique Subsaharienne se développe depuis Février 1991.

C'est dans la rue que chacun peut entendre battre le cour d'une ville ou d'un village. S'il faut un toit pour s'abriter, dormir, cultiver son identité, partager le pain, l'amitié et l'amour, la rue seule peut donner à chacun son plein d'épanouissement, sa véritable autonomie, son propre développement, sa culture et son espérance. L'Afrique connait actuellement un taux de progression de l'hurbanisation, supérieure à celui des aures continents. 60% de la population est composée de jeunes de moins de 25 ans. En l'an 2025 Dakar qui compte aujourd'hui 2.000.000 d'habitants, aura 3.000.000  de jeunes.

Les jeunes ont perdu  la fonction sociale qui était la leur dans la société traditionnelle. Les places sont extrémement limitées pour les jeunes dans les filières de formation scolaires ou technique. La jeunessse recéle en elle une énergie immence qui au lieu d'être consacrée à la construction, risque d'être d'estructrice. Ces enfants ne bénéficient d'aucun statut l'égale, ce qui ls rend vulnérables face aux différentes formes d'exploitations et face à la loi. Au Sénégal, il existe depius 12 ans, un programme de formation poour les jeunes et enfants de la rue. Aussi, un projet de formation pour l'ensemble des jeunes d'Afrique Subsaharienne se développe depuis Février 1991.