Titre : | The status of student involvement in University Governance in Kenya | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | MULINGE,Munyae M., Auteur ; ARASA,Joséphine N., Auteur ; WAWIRE,Violet, Auteur | Editeur : | [Dakar, Senegal] : Codesria | Année de publication : | 2017 | Importance : | 231p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-86978-714-8 | Note générale : | Don de Bernard-Founou Tchuigoua | Langues : | Anglais | Catégories : | ENSEIGNEMENT SUPERIEUR GOUVERNANCE SECTEUR PRIVE SECTEUR PUBLIC UNIVERSITE
| Index. décimale : | 171 Systèmes éducatifs et méthodes d'enseignement | Résumé : | Ce livre examine le concept de démocratisation de la gouvernance dans les universités du Kenya en mettant particulièrement l’accent sur la participation des étudiants aux processus de gouvernance et à la prise de décisions. Les données ont été recueillies auprès de membres de la communauté étudiante à l’aide d’un questionnaire structuré auto-administré et auprès d’informateurs clés et de groupes de discussion choisis de façon ativement provenant de l’Université Kenyatta (représentant le secteur public) et de l’Université internationale des États-Unis (représentant le secteur privé). L’argument directeur de l’étude était que la gouvernance partagée, l’un des principes de la bonne gouvernance, est essentielle pour permettre aux universités de réaliser leurs visions et leurs missions efficacement. Les résultats ont révélé que, bien qu’en principe, les universités kenyanes aient adopté une gouvernance démocratique dans laquelle toutes les parties prenantes, y compris les étudiants, ont un rôle à jouer, dans la pratique, elles continuent de violer les principes fondamentaux de la bonne gouvernance, en particulier la gouvernance partagée. Plus précisément, les étudiants, qui sont les principaux intervenants de l’enseignement universitaire, sont largement exclus d’importantes structures de gouvernance, limitant ainsi leur influence et leur participation. Bien que leur représentation soit principalement assurée par l’intermédiaire d’organes d’autonomie étudiante (syndicats, associations et/ou conseils), leur efficacité est considérablement compromise par le manque de confiance et de confiance du corps étudiant et la manipulation sans fin par les principaux administrateurs universitaires et les acteurs politiques externes. La participation active des élèves à la prise de décisions se limite principalement à des niveaux inférieurs tels que l’école/faculté et le programme ministériel/. Les auteurs appellent à un changement de paradigme dans l’implication des étudiants dans la gouvernance des universités de manière à décourager la culture actuelle du tokenism et de la rectitude politique qui caractérise les universités publiques et privées au Kenya.
| Note de contenu : | Tableaux,bibliographie | En ligne : | https://www.codesria.org/spip.php?article2741 | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26732 |
The status of student involvement in University Governance in Kenya [texte imprimé] / MULINGE,Munyae M., Auteur ; ARASA,Joséphine N., Auteur ; WAWIRE,Violet, Auteur . - [Dakar, Senegal] : Codesria, 2017 . - 231p. ISSN : 978-86978-714-8 Don de Bernard-Founou Tchuigoua Langues : Anglais Catégories : | ENSEIGNEMENT SUPERIEUR GOUVERNANCE SECTEUR PRIVE SECTEUR PUBLIC UNIVERSITE
| Index. décimale : | 171 Systèmes éducatifs et méthodes d'enseignement | Résumé : | Ce livre examine le concept de démocratisation de la gouvernance dans les universités du Kenya en mettant particulièrement l’accent sur la participation des étudiants aux processus de gouvernance et à la prise de décisions. Les données ont été recueillies auprès de membres de la communauté étudiante à l’aide d’un questionnaire structuré auto-administré et auprès d’informateurs clés et de groupes de discussion choisis de façon ativement provenant de l’Université Kenyatta (représentant le secteur public) et de l’Université internationale des États-Unis (représentant le secteur privé). L’argument directeur de l’étude était que la gouvernance partagée, l’un des principes de la bonne gouvernance, est essentielle pour permettre aux universités de réaliser leurs visions et leurs missions efficacement. Les résultats ont révélé que, bien qu’en principe, les universités kenyanes aient adopté une gouvernance démocratique dans laquelle toutes les parties prenantes, y compris les étudiants, ont un rôle à jouer, dans la pratique, elles continuent de violer les principes fondamentaux de la bonne gouvernance, en particulier la gouvernance partagée. Plus précisément, les étudiants, qui sont les principaux intervenants de l’enseignement universitaire, sont largement exclus d’importantes structures de gouvernance, limitant ainsi leur influence et leur participation. Bien que leur représentation soit principalement assurée par l’intermédiaire d’organes d’autonomie étudiante (syndicats, associations et/ou conseils), leur efficacité est considérablement compromise par le manque de confiance et de confiance du corps étudiant et la manipulation sans fin par les principaux administrateurs universitaires et les acteurs politiques externes. La participation active des élèves à la prise de décisions se limite principalement à des niveaux inférieurs tels que l’école/faculté et le programme ministériel/. Les auteurs appellent à un changement de paradigme dans l’implication des étudiants dans la gouvernance des universités de manière à décourager la culture actuelle du tokenism et de la rectitude politique qui caractérise les universités publiques et privées au Kenya.
| Note de contenu : | Tableaux,bibliographie | En ligne : | https://www.codesria.org/spip.php?article2741 | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26732 |
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