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Titre : CONTRIBUTION PREVUE DETERMINEE AU NIVEAU NATIONAL : 21ème Conférence des Parties. CONTRIBUTION PREVUE DETERMINEE AU NIVEAU NATIONAL CPDN Type de document : texte imprimé Editeur : REPUBLIQUE DU SENEGAL. MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Année de publication : Septembre 2015 Autre Editeur : MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Importance : 19 p. Note générale : Document extrait de la plateforme AGORA d'Enda Tiers-Monde. Langues : Français Catégories : CHANGEMENT CLIMATIQUES
ECOSYSTEMES
GAZ A EFFET DE SERRE
GESTION DE L'ENVIRONNEMENT
GESTION DES RESSOURCES NATURELLES
RESSOURCES HALIEUTIQUES
RESSOURCES HYDRAULIQUESMots-clés : VULNERABILITE DES ECOSYSTEMES REDUCTION DES GAZ A EFFET DE SERRE Index. décimale : 120.1 Climat, climatologie, changements climatiques, stations météorologiques pour instrument de mesure du vent Résumé : La Contribution Prévue Déterminée au niveau National (CPDN) du Sénégal s’inscrit dans le cadre de sa stratégie de développement, le Plan Sénégal Émergent (PSE), ainsi que ses programmes sectoriels de gestion durable de ses ressources naturelles et environnementales. L’État du Sénégal met en œuvre plusieurs projetsn et programmes ayant pour objectif l’accélération de la croissance économique, la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens. Cette stratégie repose en grande partie sur l’exploitation de ses ressources naturelles et exige, afin de garantir une croissance durable et responsable, une bonne gestion de ces ressources.
Plusieurs études réalisées au Sénégal renseignent sur les conséquences du changement climatique. Les impacts observés montrent une évolution à la baisse de la pluviométrie, une hausse certaine des températures moyennes, une élévation du niveau de la mer et des perturbations sur la disponibilité de ressources hydrauliques et halieutiques, des sols et espaces cultivables. Elles traduisent une vulnérabilité des écosystèmes du Sénégal, nécessitant des actions précises d’atténuation et d’adaptation aux perspectives climatiques futures afin d’en maîtriser les impacts potentiels, notamment en termes socio-économiques sur les 60% de la population dont la subsistance dépend directement de ces ressources.
La CPDN du Sénégal a été élaborée par une équipe de consultants locaux sous l’encadrement de la Direction de l’Environnement et des Etablissements Classés (DEEC) et du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable en collaboration avec le Comité National sur les Changements Climatiques (COMNACC), sur la base d’un processus participatif et inclusif. Une évaluation rigoureuse de la situation environnementale, la participation d’experts sectoriels , des collectivités locales, de la société civile et l’implication de l’État ont permis de produire un ensemble d’actions significatives qui manifestent l’engagement du Sénégal à contribuer au défi collectif que représente le changement climatique. Cette évaluation a permis d’identifier sur les volets d’atténuation et d’adaptation , les secteurs portant de façon prioritaire les activités de maîtrise des impacts du changement climatique comme étant : l’agriculture, la pêche, la foresterie, le transport, la gestion des déchets, l’énergie et l’industrie.
Un atelier national tenu le 14 septembre 2015, présidé par le Ministre de l’Environnement et du développement durable a permis de valider des engagements précis de réduction des émissions de Gaz à effet de serre (GES) pour le Sénégal à l’horizon 2035. La CPDN a été adoptée au conseil des ministres du 16 septembre 2015.
Malgré des capacités limitées et le faible niveau des émissions actuelles du Sénégal, cette contribution traduit la volonté de l’État à prendre part aux stratégies globales d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques. La mise en œuvre de la CPDN est estimée à un coût financier de 21,5 milliards de dollars US et nécessite d’importants moyens humains et technologiques, mais aussi l’appui de la communauté
internationale afin de permettre des réductions encore plus significatives d’émissions de GES.
Des simulations ont permis d’évaluer les impacts et les retombées socio-économiques escomptées de ces mesures. Bien qu’intervenant directement sur les secteurs cités précédemment, ces mesures constituent un levier d’amélioration de la situation économique nationale de la santé publique, de la gestion des problèmes liés à l’urbanisation, entre autres problématiques jugées essentielles.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31156 CONTRIBUTION PREVUE DETERMINEE AU NIVEAU NATIONAL : 21ème Conférence des Parties. CONTRIBUTION PREVUE DETERMINEE AU NIVEAU NATIONAL CPDN [texte imprimé] . - [S.l.] : REPUBLIQUE DU SENEGAL. MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE : [S.l.] : MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE, Septembre 2015 . - 19 p.
Document extrait de la plateforme AGORA d'Enda Tiers-Monde.
Langues : Français
Catégories : CHANGEMENT CLIMATIQUES
ECOSYSTEMES
GAZ A EFFET DE SERRE
GESTION DE L'ENVIRONNEMENT
GESTION DES RESSOURCES NATURELLES
RESSOURCES HALIEUTIQUES
RESSOURCES HYDRAULIQUESMots-clés : VULNERABILITE DES ECOSYSTEMES REDUCTION DES GAZ A EFFET DE SERRE Index. décimale : 120.1 Climat, climatologie, changements climatiques, stations météorologiques pour instrument de mesure du vent Résumé : La Contribution Prévue Déterminée au niveau National (CPDN) du Sénégal s’inscrit dans le cadre de sa stratégie de développement, le Plan Sénégal Émergent (PSE), ainsi que ses programmes sectoriels de gestion durable de ses ressources naturelles et environnementales. L’État du Sénégal met en œuvre plusieurs projetsn et programmes ayant pour objectif l’accélération de la croissance économique, la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens. Cette stratégie repose en grande partie sur l’exploitation de ses ressources naturelles et exige, afin de garantir une croissance durable et responsable, une bonne gestion de ces ressources.
Plusieurs études réalisées au Sénégal renseignent sur les conséquences du changement climatique. Les impacts observés montrent une évolution à la baisse de la pluviométrie, une hausse certaine des températures moyennes, une élévation du niveau de la mer et des perturbations sur la disponibilité de ressources hydrauliques et halieutiques, des sols et espaces cultivables. Elles traduisent une vulnérabilité des écosystèmes du Sénégal, nécessitant des actions précises d’atténuation et d’adaptation aux perspectives climatiques futures afin d’en maîtriser les impacts potentiels, notamment en termes socio-économiques sur les 60% de la population dont la subsistance dépend directement de ces ressources.
La CPDN du Sénégal a été élaborée par une équipe de consultants locaux sous l’encadrement de la Direction de l’Environnement et des Etablissements Classés (DEEC) et du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable en collaboration avec le Comité National sur les Changements Climatiques (COMNACC), sur la base d’un processus participatif et inclusif. Une évaluation rigoureuse de la situation environnementale, la participation d’experts sectoriels , des collectivités locales, de la société civile et l’implication de l’État ont permis de produire un ensemble d’actions significatives qui manifestent l’engagement du Sénégal à contribuer au défi collectif que représente le changement climatique. Cette évaluation a permis d’identifier sur les volets d’atténuation et d’adaptation , les secteurs portant de façon prioritaire les activités de maîtrise des impacts du changement climatique comme étant : l’agriculture, la pêche, la foresterie, le transport, la gestion des déchets, l’énergie et l’industrie.
Un atelier national tenu le 14 septembre 2015, présidé par le Ministre de l’Environnement et du développement durable a permis de valider des engagements précis de réduction des émissions de Gaz à effet de serre (GES) pour le Sénégal à l’horizon 2035. La CPDN a été adoptée au conseil des ministres du 16 septembre 2015.
Malgré des capacités limitées et le faible niveau des émissions actuelles du Sénégal, cette contribution traduit la volonté de l’État à prendre part aux stratégies globales d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques. La mise en œuvre de la CPDN est estimée à un coût financier de 21,5 milliards de dollars US et nécessite d’importants moyens humains et technologiques, mais aussi l’appui de la communauté
internationale afin de permettre des réductions encore plus significatives d’émissions de GES.
Des simulations ont permis d’évaluer les impacts et les retombées socio-économiques escomptées de ces mesures. Bien qu’intervenant directement sur les secteurs cités précédemment, ces mesures constituent un levier d’amélioration de la situation économique nationale de la santé publique, de la gestion des problèmes liés à l’urbanisation, entre autres problématiques jugées essentielles.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31156 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30907 120.1 /REP/30907 Papier Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Documents numériques
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CONTRIBUTION_PREVUE_DETERMINEE_AU_NIVEAU_NATIONAL-_Sénégal.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : MAROC : CONTRIBUTION PRÉVUE DÉTERMINÉE AU NIVEAU NATIONAL (CPDN) DANS LE CADRE DE LA CCNUCC Type de document : texte imprimé Note générale : Document extrait de la plateforme AGORA d'Enda Tiers-Monde. Langues : Français Catégories : ACCES A L'EAU
ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE
AGRICULTURE
BESOIN D'ENERGIE
CHANGEMENT CLIMATIQUES
CONSERVATION DES FORETS
DECHETS
DEVELOPPEMENT DURABLE
GAZ A EFFET DE SERRE
HABITAT
INDUSTRIE
MAGHREB
MAROCMots-clés : RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Index. décimale : 120.1 Climat, climatologie, changements climatiques, stations météorologiques pour instrument de mesure du vent Résumé : La Contribution Prévue Déterminée au niveau National (CPDN) du Maroc, trouve son ancrage institutionnel dans la Stratégie Nationale de Développement Durable (SNDD). Le Maroc a élaboré sa Contribution avec la conviction que les ambitions mondiales pour contrer les effets du changement climatique appellent à un engagement conséquent de toutes les parties tant en matière d’atténuation, d’adaptation que de moyens de mise en œuvre. Pour l’élaboration de sa Contribution, le Maroc a mené un large processus de concertation avec les parties prenantes. Ce processus a permis de passer en revue les politiques et programmes mis en place par le Maroc pour lutter contre le réchauffement climatique et de définir le niveau d’ambition que le pays souhaite adopter dans le cadre de sa Contribution. Ce processus a été couronné par la tenue, le 2 juin 2015 à Rabat, d’une conférence nationale, présidée par le chef du Gouvernement, pour présenter officiellement le
projet de Contribution du Maroc à l’ensemble des parties prenantes de la société marocaine afin de s’assurer de leur adhésion dans la mise en œuvre des engagements formulés dans le présent document.
Bien que le Maroc concentre ses efforts dans le secteur de l’énergie, ses objectifs de réduction de gaz à effet de serre (GES) seront réalisés grâce à des mesures prises dans tous les secteurs de l’économie, s’appuyant sur des stratégies et des plans d’action sectoriels touchant notamment les domaines de l’agriculture, de l’eau, des déchets, des forêts, de l’énergie, de l’industrie et de l’habitat.
L’engagement du Maroc est de réduire ses émissions de GES en 2030 de 32 % par rapport aux émissions projetées pour la même année selon un scénario « cours normal des affaires ». Cet engagement ne sera atteint qu’à condition que le Maroc ait accès à de nouvelles sources de financement et un appui additionnel par rapport à celui reçu au cours des dernières années, dans le cadre d’un nouvel accord contraignant sous l’égide de la CCNUCC. Cet objectif correspond à une réduction cumulée de 401 Mt éq-‐CO2 sur la période 2020-2030. L’effort que le Maroc devra consentir pour atteindre cette ambition nécessite un investissement global de l’ordre de 45 milliards de dollars américains, dont 35 milliards sont conditionnés par un appui international grâce aux nouveaux mécanismes de la finance climat, dont le Fonds Vert pour Climat.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31155 MAROC : CONTRIBUTION PRÉVUE DÉTERMINÉE AU NIVEAU NATIONAL (CPDN) DANS LE CADRE DE LA CCNUCC [texte imprimé] . - [s.d.].
Document extrait de la plateforme AGORA d'Enda Tiers-Monde.
Langues : Français
Catégories : ACCES A L'EAU
ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE
AGRICULTURE
BESOIN D'ENERGIE
CHANGEMENT CLIMATIQUES
CONSERVATION DES FORETS
DECHETS
DEVELOPPEMENT DURABLE
GAZ A EFFET DE SERRE
HABITAT
INDUSTRIE
MAGHREB
MAROCMots-clés : RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Index. décimale : 120.1 Climat, climatologie, changements climatiques, stations météorologiques pour instrument de mesure du vent Résumé : La Contribution Prévue Déterminée au niveau National (CPDN) du Maroc, trouve son ancrage institutionnel dans la Stratégie Nationale de Développement Durable (SNDD). Le Maroc a élaboré sa Contribution avec la conviction que les ambitions mondiales pour contrer les effets du changement climatique appellent à un engagement conséquent de toutes les parties tant en matière d’atténuation, d’adaptation que de moyens de mise en œuvre. Pour l’élaboration de sa Contribution, le Maroc a mené un large processus de concertation avec les parties prenantes. Ce processus a permis de passer en revue les politiques et programmes mis en place par le Maroc pour lutter contre le réchauffement climatique et de définir le niveau d’ambition que le pays souhaite adopter dans le cadre de sa Contribution. Ce processus a été couronné par la tenue, le 2 juin 2015 à Rabat, d’une conférence nationale, présidée par le chef du Gouvernement, pour présenter officiellement le
projet de Contribution du Maroc à l’ensemble des parties prenantes de la société marocaine afin de s’assurer de leur adhésion dans la mise en œuvre des engagements formulés dans le présent document.
Bien que le Maroc concentre ses efforts dans le secteur de l’énergie, ses objectifs de réduction de gaz à effet de serre (GES) seront réalisés grâce à des mesures prises dans tous les secteurs de l’économie, s’appuyant sur des stratégies et des plans d’action sectoriels touchant notamment les domaines de l’agriculture, de l’eau, des déchets, des forêts, de l’énergie, de l’industrie et de l’habitat.
L’engagement du Maroc est de réduire ses émissions de GES en 2030 de 32 % par rapport aux émissions projetées pour la même année selon un scénario « cours normal des affaires ». Cet engagement ne sera atteint qu’à condition que le Maroc ait accès à de nouvelles sources de financement et un appui additionnel par rapport à celui reçu au cours des dernières années, dans le cadre d’un nouvel accord contraignant sous l’égide de la CCNUCC. Cet objectif correspond à une réduction cumulée de 401 Mt éq-‐CO2 sur la période 2020-2030. L’effort que le Maroc devra consentir pour atteindre cette ambition nécessite un investissement global de l’ordre de 45 milliards de dollars américains, dont 35 milliards sont conditionnés par un appui international grâce aux nouveaux mécanismes de la finance climat, dont le Fonds Vert pour Climat.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31155 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30906 120.1 /MAR /30906 Papier Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Documents numériques
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CONTRIBUTION_PREVUE_DETERMINEE_AU_NIVEAU_NATIONAL-_Maroc.pdfAdobe Acrobat PDFProgramme énergie environnement développement / ENDA Energie
Titre : Programme énergie environnement développement Type de document : texte imprimé Auteurs : ENDA Energie, Auteur Editeur : DAKAR:Enda Energie Année de publication : 2010 Collection : Rapport d'activités 2010 Importance : 30 p. Format : Grand Langues : Français Catégories : BIOCARBURANT
BIOENERGIE
CHANGEMENT CLIMATIQUES
DESERTIFICATION
DEVELOPPEMENT RURAL
EAU
ECONOMIE RURALE
ENERGIES RENOUVELABLES
EROSION
FUMAGE
PLANIFICATION LOCALE
SECURITE ALIMENTAIREMots-clés : SYSTEMES ENERGITIQUES RESITENCE AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES FUMAGE DE POISSONS VULNERABILITE AUX CHAGEMENT MALI GHANA SENEGAL AFRIQUE DE L'OUEST Index. décimale : 200 ÉNERGIE ET SOCIETE GENERALITES Résumé : Dans le domaine de l’énergie, l'urgence pour l'Afrique est de garantir aux populations un accès aux services énergétiques modernes afin d'asseoir un développement plus durable. Depuis la réunion des chefs d'Etat de New York en 2000ayant abouti à la déclaration des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) suivie de la grande rencontre des experts du domaine de l'énergie et celle des Chefs d'Etat de Johannesburg en 2002, le rôle essentiel de l'énergie dans le développement durable et la lutte contre la pauvreté n'est plus à démontrer. D'où l'appel lancé aux nations pour "entreprendre des actions et efforts communs d'une collaboration à tous les niveaux, afin d'améliorer l'accès à des services énergétiques durables et abordables pour un développement durable facilitant l'atteinte des OMD".
Cependant, la maitrise de l'eau pour la sécurité alimentaire, l'amélioration de la qualité des services éducatifs et sanitaires, la compétitive des entreprises dans un monde globalisé, la promotion de l'économie rurale, sont autant d'impératifs qui requièrent des services énergétiques. Or, l'Afrique reste dans une situation de pauvreté énergétique marquée par de faibles consommations d'énergie moderne per capita(0,5 TEP). Aujourd'hui, il faut investir quelque 0,06% du PIB pour permettre un accès universel à l'électricité et à des services modernes de cuisson en vue d'atteindre les OMD.
Aujourd'hui, ce défi de sécurité énergétique ne peut plus être abordé sans une articulation avec les problèmes du réchauffement climatique dont on sait déjà que les effets érodent grandement les efforts entrepris pour l'atteinte des OMD.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30447 Programme énergie environnement développement [texte imprimé] / ENDA Energie, Auteur . - [S.l.] : DAKAR:Enda Energie, 2010 . - 30 p. ; Grand. - (Rapport d'activités 2010) .
Langues : Français
Catégories : BIOCARBURANT
BIOENERGIE
CHANGEMENT CLIMATIQUES
DESERTIFICATION
DEVELOPPEMENT RURAL
EAU
ECONOMIE RURALE
ENERGIES RENOUVELABLES
EROSION
FUMAGE
PLANIFICATION LOCALE
SECURITE ALIMENTAIREMots-clés : SYSTEMES ENERGITIQUES RESITENCE AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES FUMAGE DE POISSONS VULNERABILITE AUX CHAGEMENT MALI GHANA SENEGAL AFRIQUE DE L'OUEST Index. décimale : 200 ÉNERGIE ET SOCIETE GENERALITES Résumé : Dans le domaine de l’énergie, l'urgence pour l'Afrique est de garantir aux populations un accès aux services énergétiques modernes afin d'asseoir un développement plus durable. Depuis la réunion des chefs d'Etat de New York en 2000ayant abouti à la déclaration des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) suivie de la grande rencontre des experts du domaine de l'énergie et celle des Chefs d'Etat de Johannesburg en 2002, le rôle essentiel de l'énergie dans le développement durable et la lutte contre la pauvreté n'est plus à démontrer. D'où l'appel lancé aux nations pour "entreprendre des actions et efforts communs d'une collaboration à tous les niveaux, afin d'améliorer l'accès à des services énergétiques durables et abordables pour un développement durable facilitant l'atteinte des OMD".
Cependant, la maitrise de l'eau pour la sécurité alimentaire, l'amélioration de la qualité des services éducatifs et sanitaires, la compétitive des entreprises dans un monde globalisé, la promotion de l'économie rurale, sont autant d'impératifs qui requièrent des services énergétiques. Or, l'Afrique reste dans une situation de pauvreté énergétique marquée par de faibles consommations d'énergie moderne per capita(0,5 TEP). Aujourd'hui, il faut investir quelque 0,06% du PIB pour permettre un accès universel à l'électricité et à des services modernes de cuisson en vue d'atteindre les OMD.
Aujourd'hui, ce défi de sécurité énergétique ne peut plus être abordé sans une articulation avec les problèmes du réchauffement climatique dont on sait déjà que les effets érodent grandement les efforts entrepris pour l'atteinte des OMD.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30447 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30191 200/END/30191 Rapport Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt