
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Catégories



ActionAide Sénégal : Stratégie pays 2018-2022 (document Pronat) / ACTIONAID
Titre : ActionAide Sénégal : Stratégie pays 2018-2022 (document Pronat) Type de document : texte imprimé Auteurs : ACTIONAID, Auteur Editeur : ACTIONAID Année de publication : s.d. Importance : 32 p. Note générale : Doc d'Enda Pronat Langues : Français Catégories : CONDITION DE LA FEMME
EGALITE DES CHANCES
JUSTICE SOCIALE
PARTICIPATION DES FEMMES
PLANIFICATION LOCALE
SENEGALIndex. décimale : 118 Femmes et développement Résumé : L’objectif de la présente Stratégie 2018-2022 est d’identifier et de remettre en cause les croyances normatives qui entravent l’actualisation des droits des femmes en mettant l’accent sur l’agriculture et l’accès à des services publics sensibles au genre, en particulier dans l’enseignement secondaire
Note de contenu : Photos, Tableaux Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27519 ActionAide Sénégal : Stratégie pays 2018-2022 (document Pronat) [texte imprimé] / ACTIONAID, Auteur . - [S.l.] : ACTIONAID, s.d. . - 32 p.
Doc d'Enda Pronat
Langues : Français
Catégories : CONDITION DE LA FEMME
EGALITE DES CHANCES
JUSTICE SOCIALE
PARTICIPATION DES FEMMES
PLANIFICATION LOCALE
SENEGALIndex. décimale : 118 Femmes et développement Résumé : L’objectif de la présente Stratégie 2018-2022 est d’identifier et de remettre en cause les croyances normatives qui entravent l’actualisation des droits des femmes en mettant l’accent sur l’agriculture et l’accès à des services publics sensibles au genre, en particulier dans l’enseignement secondaire
Note de contenu : Photos, Tableaux Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27519 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 27388 118/ACT/27388 Papier Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Assises de la ville de Rufisque : Plan de développement urbain durable (PDUD), Rufisque horizon 2035. (document Pronat) / Ville de Rufisque
Titre : Assises de la ville de Rufisque : Plan de développement urbain durable (PDUD), Rufisque horizon 2035. (document Pronat) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ville de Rufisque, Auteur Editeur : Ville de Rufisque Année de publication : Juillet/2016 Importance : 89 p. Note générale : Doc d'Enda Pronat Langues : Français Catégories : AFRIQUE DE L'OUEST
COLLECTIVITES URBAINES
DEVELOPPEMENT DURABLE
DEVELOPPEMENT URBAIN
GOUVERNANCE
PLANIFICATION LOCALE
RUFISQUE
SENEGALIndex. décimale : 141 Établissements urbains et programmes d'habitat urbain, Développement urbain Résumé : C’est à la suite de la réflexion de grande envergure notée dans le cadre des Assises qu’un Plan de développement urbain durable (PDUD) de la ville de Rufisque à l’horizon 2035 a été élaboré. Le PDUD propose une radioscopie approfondie de l’état de développement durable de la ville, présente les problèmes prioritaires identifiés par les populations et les experts, formule une vision de développement durable à l’horizon 2035 et des objectifs stratégiques, définit un Plan d’Actions prioritaires pour la période 2016-2020 ainsi qu’un dispositif de mise en œuvre et de suivi.
Note de contenu : Bibligr. fig. tabl. graph. Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28317 Assises de la ville de Rufisque : Plan de développement urbain durable (PDUD), Rufisque horizon 2035. (document Pronat) [texte imprimé] / Ville de Rufisque, Auteur . - Rufisque/SENEGAL : Ville de Rufisque, Juillet/2016 . - 89 p.
Doc d'Enda Pronat
Langues : Français
Catégories : AFRIQUE DE L'OUEST
COLLECTIVITES URBAINES
DEVELOPPEMENT DURABLE
DEVELOPPEMENT URBAIN
GOUVERNANCE
PLANIFICATION LOCALE
RUFISQUE
SENEGALIndex. décimale : 141 Établissements urbains et programmes d'habitat urbain, Développement urbain Résumé : C’est à la suite de la réflexion de grande envergure notée dans le cadre des Assises qu’un Plan de développement urbain durable (PDUD) de la ville de Rufisque à l’horizon 2035 a été élaboré. Le PDUD propose une radioscopie approfondie de l’état de développement durable de la ville, présente les problèmes prioritaires identifiés par les populations et les experts, formule une vision de développement durable à l’horizon 2035 et des objectifs stratégiques, définit un Plan d’Actions prioritaires pour la période 2016-2020 ainsi qu’un dispositif de mise en œuvre et de suivi.
Note de contenu : Bibligr. fig. tabl. graph. Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28317 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 28145 141/VIL/28145 Papier Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt PLAN DEPARTEMENTAL DE DEVELOPPEMENT D’OUSSOUYE / ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ)
![]()
Titre : PLAN DEPARTEMENTAL DE DEVELOPPEMENT D’OUSSOUYE : Version provisoire Type de document : texte imprimé Auteurs : ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur Editeur : Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ) Année de publication : Juillet 20016 Importance : 122 p Langues : Français Catégories : ADMINISTRATION LOCALE
ADMINISTRATION PUBLIQUE
COLLECTIVITE LOCALE
COLLECTIVITES
CONSTITUTIONS
DECENTRALISATION
DEPARTEMENT
DEVELOPPEMENT DES COLLECTIVITES
GOUVERNANCE
PLANIFICATION
PLANIFICATION LOCALE
SENEGALMots-clés : Oussouye/ Ziguinchor Résumé : Dès son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal a opté pour une politique de décentralisation prudente, progressive et irréversible. Cette option a été confirmée au cours des différentes phases qui ont marqué cette politique. Avec l’indépendance en 1960, la décentralisation s’affirme : le nombre de communes passe progressivement à 37 puis à 48, tandis que les communes à statut spécial (les « communes mixtes ») disparaissent. Par ailleurs, une loi de 1972 institue des « communautés rurales » (CR) dans le but de créer de véritables centres de développement. Leur administration est cependant confiée à un sous préfet. Enfin, une communauté urbaine (CU) de Dakar est créée en 1983, qui sera dissoute en 2001. La décentralisation se poursuit avec des réformes successives jusqu’au tournant décisif de 1996, marqué par la création de 12 nouvelles communes et, surtout, par l’adoption de plusieurs textes importants, dont la loi 96-06 du 5 février 1996 portant Code des collectivités locales et la loi 96-07 relative aux compétences transférées à ces dernières. La Constitution de 2001 consacre les avancées de 1996 en renforçant leur base constitutionnelle. Elle stipule notamment (titre XI, art. 102) que les collectivités locales « constituent le cadre institutionnel de la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques », « qu’elles s’administrent librement par des assemblées élues » et que « leur organisation, leur composition, leur fonctionnement sont déterminés par la loi ». Cependant, malgré les progrès et acquis enregistrés, beaucoup de faiblesses et de contraintes pèsent encore sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation. La politique de décentralisation au Sénégal se heurte, en effet, à beaucoup de limites. Le contexte et la faiblesse des politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, nécessitent, en conséquence, d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de produire simultanément des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement local harmonieux. Dans cette perspective, l’option est prise de construire, dans le cadre d’un dialogue consensuel et prospectif, le renouveau de la modernisation de l’Etat, à travers une décentralisation cohérente dans ses principes, et performante dans sa mise en œuvre. Aussi, le Gouvernement envisage-t-il la refondation majeure de l’action territoriale de l’Etat, à travers le projet de réforme de la décentralisation. L’objectif général, visé par cette réforme, baptisée « l’Acte III de la décentralisation », est d’organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable. Cette réforme plonge ses racines dans une véritable politique d’aménagement du territoire et oriente la concrétisation des aspirations et des espoirs des acteurs territoriaux, en vue de bâtir un projet de territoire. Elle offre l’espace adéquat pour construire les bases de la territorialisation des politiques publiques. La loi n° 2013-10 du 28 Décembre 2013 a érigé le Département en Collectivité locale dotée de neuf domaines de compétence dont la Planification Locale. L’élaboration du Plan de Développement Départemental (PDD), cadre de référence pour la programmation et la coordination des initiatives de développement, est désormais dévolue au Département. A l’image de l’ensemble des autres Départements nouvellement érigés en collectivités locales à la faveur de l’acte 3 de la décentralisation, celui d’Oussouye ne dispose pas de Plan de Développement Départemental (PDD). C’est dans le but de combler ce déficit que le Conseil Départemental, saisissant l’opportunité offerte par l’Agence Espagnole de Coopération Internationale pour le Développement (AECID) à travers l’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARD Z), a décidé de mettre en œuvre un processus participatif et inclusif de diagnostic du territoire et de formulation d’actions pour un développement territorial harmonieux et durable du Département d’Oussouye. En outre, au moment où les pouvoirs publics veulent faire de la Casamance la région test par rapport au «pôle de développement territorial », le département a besoin d’un Plan Départemental de Développement (PDD) pour une exploitation efficace et efficiente de ces potentialités et atouts. Le présent document comporte, outre l’introduction et la présentation de la démarche méthodologique, trois (3) parties conformément au canevas élaboré par le Ministère en Charge de la décentralisation, il s’agit : • De la présentation du département de Oussouye; en termes de milieux physique, humain, géographique et social • De l’établissement du diagnostic départemental (situation de référence) dans tous les secteurs socio?économiques; • De la planification du développement départemental pour les six (6) prochaines années.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31216 PLAN DEPARTEMENTAL DE DEVELOPPEMENT D’OUSSOUYE : Version provisoire [texte imprimé] / ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur . - [S.l.] : Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Juillet 20016 . - 122 p.
Langues : Français
Catégories : ADMINISTRATION LOCALE
ADMINISTRATION PUBLIQUE
COLLECTIVITE LOCALE
COLLECTIVITES
CONSTITUTIONS
DECENTRALISATION
DEPARTEMENT
DEVELOPPEMENT DES COLLECTIVITES
GOUVERNANCE
PLANIFICATION
PLANIFICATION LOCALE
SENEGALMots-clés : Oussouye/ Ziguinchor Résumé : Dès son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal a opté pour une politique de décentralisation prudente, progressive et irréversible. Cette option a été confirmée au cours des différentes phases qui ont marqué cette politique. Avec l’indépendance en 1960, la décentralisation s’affirme : le nombre de communes passe progressivement à 37 puis à 48, tandis que les communes à statut spécial (les « communes mixtes ») disparaissent. Par ailleurs, une loi de 1972 institue des « communautés rurales » (CR) dans le but de créer de véritables centres de développement. Leur administration est cependant confiée à un sous préfet. Enfin, une communauté urbaine (CU) de Dakar est créée en 1983, qui sera dissoute en 2001. La décentralisation se poursuit avec des réformes successives jusqu’au tournant décisif de 1996, marqué par la création de 12 nouvelles communes et, surtout, par l’adoption de plusieurs textes importants, dont la loi 96-06 du 5 février 1996 portant Code des collectivités locales et la loi 96-07 relative aux compétences transférées à ces dernières. La Constitution de 2001 consacre les avancées de 1996 en renforçant leur base constitutionnelle. Elle stipule notamment (titre XI, art. 102) que les collectivités locales « constituent le cadre institutionnel de la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques », « qu’elles s’administrent librement par des assemblées élues » et que « leur organisation, leur composition, leur fonctionnement sont déterminés par la loi ». Cependant, malgré les progrès et acquis enregistrés, beaucoup de faiblesses et de contraintes pèsent encore sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation. La politique de décentralisation au Sénégal se heurte, en effet, à beaucoup de limites. Le contexte et la faiblesse des politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, nécessitent, en conséquence, d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de produire simultanément des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement local harmonieux. Dans cette perspective, l’option est prise de construire, dans le cadre d’un dialogue consensuel et prospectif, le renouveau de la modernisation de l’Etat, à travers une décentralisation cohérente dans ses principes, et performante dans sa mise en œuvre. Aussi, le Gouvernement envisage-t-il la refondation majeure de l’action territoriale de l’Etat, à travers le projet de réforme de la décentralisation. L’objectif général, visé par cette réforme, baptisée « l’Acte III de la décentralisation », est d’organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable. Cette réforme plonge ses racines dans une véritable politique d’aménagement du territoire et oriente la concrétisation des aspirations et des espoirs des acteurs territoriaux, en vue de bâtir un projet de territoire. Elle offre l’espace adéquat pour construire les bases de la territorialisation des politiques publiques. La loi n° 2013-10 du 28 Décembre 2013 a érigé le Département en Collectivité locale dotée de neuf domaines de compétence dont la Planification Locale. L’élaboration du Plan de Développement Départemental (PDD), cadre de référence pour la programmation et la coordination des initiatives de développement, est désormais dévolue au Département. A l’image de l’ensemble des autres Départements nouvellement érigés en collectivités locales à la faveur de l’acte 3 de la décentralisation, celui d’Oussouye ne dispose pas de Plan de Développement Départemental (PDD). C’est dans le but de combler ce déficit que le Conseil Départemental, saisissant l’opportunité offerte par l’Agence Espagnole de Coopération Internationale pour le Développement (AECID) à travers l’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARD Z), a décidé de mettre en œuvre un processus participatif et inclusif de diagnostic du territoire et de formulation d’actions pour un développement territorial harmonieux et durable du Département d’Oussouye. En outre, au moment où les pouvoirs publics veulent faire de la Casamance la région test par rapport au «pôle de développement territorial », le département a besoin d’un Plan Départemental de Développement (PDD) pour une exploitation efficace et efficiente de ces potentialités et atouts. Le présent document comporte, outre l’introduction et la présentation de la démarche méthodologique, trois (3) parties conformément au canevas élaboré par le Ministère en Charge de la décentralisation, il s’agit : • De la présentation du département de Oussouye; en termes de milieux physique, humain, géographique et social • De l’établissement du diagnostic départemental (situation de référence) dans tous les secteurs socio?économiques; • De la planification du développement départemental pour les six (6) prochaines années.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31216 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30979 114/AGE/30979 Papier Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Documents numériques
![]()
PLAN_DEPARTEMENTAL_DE_DEVELOPPEMENT_D_OUSSOUYE_2016.pdfAdobe Acrobat PDFPLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL (PDC) DE MLOMP OUSSOUYE / ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ)
![]()
Titre : PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL (PDC) DE MLOMP OUSSOUYE : Version finale Type de document : texte imprimé Auteurs : ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur Année de publication : Juin 2018 Importance : 80 p Langues : Français Catégories : COLLECTIVITES
COLLECTIVITES LOCALES
COMMUNAUTÉ RURALE
COMMUNES
DECENTRALISATION
DEVELOPPEMENT DURABLE
PLANIFICATION LOCALE
POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT
POLITIQUE PUBLIQUE
SENEGALMots-clés : MLOMP/ OUSSOUYE/ ZIGUINCHOR Résumé : La commune de Mlomp se situe dans le Département d’Oussouye (891 Km²) et dans l’Arrondissement de Loudia Wolof (517 km²) qui compte deux Communes (Oukout et MLomp). La Commune de Mlomp étant la plus vaste avec 337 km², occupe 65,18% de la surface de l’arrondissement et 37,82% de celle du département. Elle est limitée : Au Nord par le fleuve Casamance ; Au Sud par la Commune d’Oukout ; A l’Ouest par la Commune de Diembering ; A l’Est par la Commune d’Enampore. Dès son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal a opté pour une politique de décentralisation prudente, progressive et irréversible. Cette option s’est confirmée au cours des différentes phases qui ont marqué cette politique. En effet, la décentralisation s’affirme déjà dès le début l’indépendance en 1960, le nombre de communes passe progressivement à 37 puis à 48, tandis que les communes à statut spécial (les « communes mixtes ») disparaissent. Par ailleurs, la loi 72-25 du 25-04-1972 institue les « communautés rurales » (CR) dans le but de se rapprocher davantage l’Administration des citoyens et de créer de véritables centres de développement. Leur administration est cependant confiée à un sous-préfet. Enfin, une communauté urbaine (CU) de Dakar est créée en 1983, qui sera dissoute en 2001. La décentralisation se poursuit avec des réformes successives jusqu’au tournant décisif de 1996, marqué par la création de 12 nouvelles Communes et, surtout, par l’adoption de plusieurs textes importants, dont la loi 96-06 du 22 mars 1996 portant Code des collectivités locales et la loi 96-07 du 22 mars 1996 relative au transfert de compétences aux collectivités locales. La Constitution de 2001 consacre les avancées de 1996 en renforçant leur base constitutionnelle. Elle stipule notamment (titre XI, art. 102) que les collectivités locales « constituent le cadre institutionnel de la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques », « qu’elles s’administrent librement par des assemblées élues » et que « leur organisation, leur composition, leur fonctionnement sont déterminés par la loi ». Cependant, malgré les progrès et acquis enregistrés, beaucoup de faiblesses et de contraintes pèsent encore sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation. Le contexte et la faiblesse des politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, nécessitent, en conséquence, d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de produire simultanément des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement local harmonieux. Dans cette perspective, l’option est prise de construire, dans le cadre d’un dialogue consensuel et prospectif, le renouveau de la modernisation de l’État, à travers une décentralisation cohérente dans ses principes, et performante dans sa mise en œuvre. Aussi, le Gouvernement envisage-t-il la refondation majeure de l’action territoriale de l’État, à travers le projet de réforme de la décentralisation. L’objectif général, visé par cette réforme, baptisée « l’Acte III de la décentralisation », est « d’organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable ». Cette réforme plonge ses racines dans une véritable politique d’aménagement du territoire et oriente la concrétisation des aspirations et des espoirs des acteurs territoriaux, en vue de bâtir un projet de territoire. Elle offre l’espace adéquat pour construire les bases de la territorialisation des politiques publiques. L’actuel Plan Sénégal Émergent fait ressortir la nécessité pour chaque commune de dérouler un plan d’actions lui permettant d’apporter sa contribution à l’atteinte des objectifs de ce plan.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31221 PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL (PDC) DE MLOMP OUSSOUYE : Version finale [texte imprimé] / ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur . - Juin 2018 . - 80 p.
Langues : Français
Catégories : COLLECTIVITES
COLLECTIVITES LOCALES
COMMUNAUTÉ RURALE
COMMUNES
DECENTRALISATION
DEVELOPPEMENT DURABLE
PLANIFICATION LOCALE
POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT
POLITIQUE PUBLIQUE
SENEGALMots-clés : MLOMP/ OUSSOUYE/ ZIGUINCHOR Résumé : La commune de Mlomp se situe dans le Département d’Oussouye (891 Km²) et dans l’Arrondissement de Loudia Wolof (517 km²) qui compte deux Communes (Oukout et MLomp). La Commune de Mlomp étant la plus vaste avec 337 km², occupe 65,18% de la surface de l’arrondissement et 37,82% de celle du département. Elle est limitée : Au Nord par le fleuve Casamance ; Au Sud par la Commune d’Oukout ; A l’Ouest par la Commune de Diembering ; A l’Est par la Commune d’Enampore. Dès son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal a opté pour une politique de décentralisation prudente, progressive et irréversible. Cette option s’est confirmée au cours des différentes phases qui ont marqué cette politique. En effet, la décentralisation s’affirme déjà dès le début l’indépendance en 1960, le nombre de communes passe progressivement à 37 puis à 48, tandis que les communes à statut spécial (les « communes mixtes ») disparaissent. Par ailleurs, la loi 72-25 du 25-04-1972 institue les « communautés rurales » (CR) dans le but de se rapprocher davantage l’Administration des citoyens et de créer de véritables centres de développement. Leur administration est cependant confiée à un sous-préfet. Enfin, une communauté urbaine (CU) de Dakar est créée en 1983, qui sera dissoute en 2001. La décentralisation se poursuit avec des réformes successives jusqu’au tournant décisif de 1996, marqué par la création de 12 nouvelles Communes et, surtout, par l’adoption de plusieurs textes importants, dont la loi 96-06 du 22 mars 1996 portant Code des collectivités locales et la loi 96-07 du 22 mars 1996 relative au transfert de compétences aux collectivités locales. La Constitution de 2001 consacre les avancées de 1996 en renforçant leur base constitutionnelle. Elle stipule notamment (titre XI, art. 102) que les collectivités locales « constituent le cadre institutionnel de la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques », « qu’elles s’administrent librement par des assemblées élues » et que « leur organisation, leur composition, leur fonctionnement sont déterminés par la loi ». Cependant, malgré les progrès et acquis enregistrés, beaucoup de faiblesses et de contraintes pèsent encore sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation. Le contexte et la faiblesse des politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, nécessitent, en conséquence, d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de produire simultanément des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement local harmonieux. Dans cette perspective, l’option est prise de construire, dans le cadre d’un dialogue consensuel et prospectif, le renouveau de la modernisation de l’État, à travers une décentralisation cohérente dans ses principes, et performante dans sa mise en œuvre. Aussi, le Gouvernement envisage-t-il la refondation majeure de l’action territoriale de l’État, à travers le projet de réforme de la décentralisation. L’objectif général, visé par cette réforme, baptisée « l’Acte III de la décentralisation », est « d’organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable ». Cette réforme plonge ses racines dans une véritable politique d’aménagement du territoire et oriente la concrétisation des aspirations et des espoirs des acteurs territoriaux, en vue de bâtir un projet de territoire. Elle offre l’espace adéquat pour construire les bases de la territorialisation des politiques publiques. L’actuel Plan Sénégal Émergent fait ressortir la nécessité pour chaque commune de dérouler un plan d’actions lui permettant d’apporter sa contribution à l’atteinte des objectifs de ce plan.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31221 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30983 114/AGE/30983 Rapport Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Documents numériques
![]()
Plan_de_Développement_Communal_(PDC)_de_Mlomp_Oussouye_Rapport-final.pdfAdobe Acrobat PDFPLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL DE ZIGUINCHOR / ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ)
![]()
Titre : PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL DE ZIGUINCHOR : RAPPORT FINAL Type de document : texte imprimé Auteurs : ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur Année de publication : Décembre 2018 Importance : 128 p Langues : Français Catégories : ADMINISTRATION LOCALE
COLLECTIVITES TERRITORIALES
DECENTRALISATION
DEVELOPPEMENT DES COLLECTIVITES
INSTITUTIONS
PLANIFICATION DU DEVELOPPEMENT
PLANIFICATION FINANCIERE
PLANIFICATION LOCALE
POLITIQUE URBAINE
SENEGALMots-clés : Communes d'arrondissements/ Ziguinchor Résumé : La Commune de Ziguinchor, capitale de la région du même nom, se trouve sur la rive gauche du fleuve Casamance à 65 km de son embouchure sur l’Océan Atlantique et à 15 km de la frontière avec la Guinée Bissau. Ses coordonnées géographiques sont : - Longitude : 16° 16’ ouest ; - Latitude : 12° 36’ nord. La superficie de la Commune est estimée à 4533 hectares. La Commune de Ziguinchor s’est développée sur un site fluvial composé de dépressions saisonnières inondables et de bas plateaux du continental terminal. L’extension de la ville le long du fleuve Casamance est bloquée par deux marigots Boutoute et Djibélor. La Commune est limitée au Nord par Tobor (Commune de Niamone), au Sud, à l’Est et à l’Ouest par la Commune de Niaguis. La décentralisation consiste en un transfert de compétences de l’Etat vers les Collectivités Territoriales (CL). Elle vise à donner aux CL des compétences propres, à faire élire leurs autorités par la population et à assurer un meilleur équilibre des pouvoirs sur l’ensemble du territoire. Depuis les années 90, de nouvelles réformes ont permis un approfondissement de cette décentralisation qui donne, aujourd’hui, aux Collectivités Territoriales, une compétence pleine en matière de planification économique et sociale. Le processus a conduit fondamentalement à deux réformes majeures réalisées respectivement en 1972 et en 1996. • La première réforme de 1972 pose « l’acte précurseur des libertés locales plus affirmées, avec la promotion de la déconcentration et la régionalisation de la planification ». • La deuxième réforme, réalisée en 1996 « dans le souci d’accroitre la proximité de l’Etat et la responsabilité des collectivités territoriales », consacre la régionalisation avec notamment l’érection de la région en collectivité territoriale, la création des Communes d’arrondissements, le transfert aux collectivités territoriales de compétences dans neuf domaines. Cette politique de décentralisation au Sénégal, en particulier entre 1972 et 2012, a permis d’engranger des avancées administratives et institutionnelles indéniables. Mais beaucoup de limites pèsent encore sur sa mise en œuvre. Il s’agit notamment de : • des faiblesses objectives du cadre institutionnel et organisationnel de la décentralisation pour la promotion du développement territorial ; • La faiblesse de la politique d’aménagement du territoire limitée par une architecture territoriale rigide ; • La faiblesse de la gouvernance territoriale • La faiblesse de la coproduction des acteurs du développement territorial qui induit fortement l’inefficacité des interventions ; • L’incohérence et l’inefficience des mécanismes de financement du développement territorial accentuées par l’insuffisance des moyens. En effet, le contexte et la faiblesse de ces politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, entrainent la nécessité d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de réaliser des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement territorial harmonieux et durable. Ainsi les autorités se sont engagées dans une nouvelle réforme de la décentralisation avec l’adoption d’une nouvelle loi dénommée Acte 3 de la décentralisation. Cette réforme constitutive des différentes étapes dont les plus importantes sont : • Faire le bilan de la politique de décentralisation au Sénégal afin d’ouvrir un chemin pour un véritable développement ; • Lancer « l’option de territorialisation des politiques publiques de développement, avec la Casamance comme pôle test. C’est dans ce contexte que s’inscrit l’élaboration de ce plan de développement Communal (PDC) de Ziguinchor.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31225 PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL DE ZIGUINCHOR : RAPPORT FINAL [texte imprimé] / ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur . - Décembre 2018 . - 128 p.
Langues : Français
Catégories : ADMINISTRATION LOCALE
COLLECTIVITES TERRITORIALES
DECENTRALISATION
DEVELOPPEMENT DES COLLECTIVITES
INSTITUTIONS
PLANIFICATION DU DEVELOPPEMENT
PLANIFICATION FINANCIERE
PLANIFICATION LOCALE
POLITIQUE URBAINE
SENEGALMots-clés : Communes d'arrondissements/ Ziguinchor Résumé : La Commune de Ziguinchor, capitale de la région du même nom, se trouve sur la rive gauche du fleuve Casamance à 65 km de son embouchure sur l’Océan Atlantique et à 15 km de la frontière avec la Guinée Bissau. Ses coordonnées géographiques sont : - Longitude : 16° 16’ ouest ; - Latitude : 12° 36’ nord. La superficie de la Commune est estimée à 4533 hectares. La Commune de Ziguinchor s’est développée sur un site fluvial composé de dépressions saisonnières inondables et de bas plateaux du continental terminal. L’extension de la ville le long du fleuve Casamance est bloquée par deux marigots Boutoute et Djibélor. La Commune est limitée au Nord par Tobor (Commune de Niamone), au Sud, à l’Est et à l’Ouest par la Commune de Niaguis. La décentralisation consiste en un transfert de compétences de l’Etat vers les Collectivités Territoriales (CL). Elle vise à donner aux CL des compétences propres, à faire élire leurs autorités par la population et à assurer un meilleur équilibre des pouvoirs sur l’ensemble du territoire. Depuis les années 90, de nouvelles réformes ont permis un approfondissement de cette décentralisation qui donne, aujourd’hui, aux Collectivités Territoriales, une compétence pleine en matière de planification économique et sociale. Le processus a conduit fondamentalement à deux réformes majeures réalisées respectivement en 1972 et en 1996. • La première réforme de 1972 pose « l’acte précurseur des libertés locales plus affirmées, avec la promotion de la déconcentration et la régionalisation de la planification ». • La deuxième réforme, réalisée en 1996 « dans le souci d’accroitre la proximité de l’Etat et la responsabilité des collectivités territoriales », consacre la régionalisation avec notamment l’érection de la région en collectivité territoriale, la création des Communes d’arrondissements, le transfert aux collectivités territoriales de compétences dans neuf domaines. Cette politique de décentralisation au Sénégal, en particulier entre 1972 et 2012, a permis d’engranger des avancées administratives et institutionnelles indéniables. Mais beaucoup de limites pèsent encore sur sa mise en œuvre. Il s’agit notamment de : • des faiblesses objectives du cadre institutionnel et organisationnel de la décentralisation pour la promotion du développement territorial ; • La faiblesse de la politique d’aménagement du territoire limitée par une architecture territoriale rigide ; • La faiblesse de la gouvernance territoriale • La faiblesse de la coproduction des acteurs du développement territorial qui induit fortement l’inefficacité des interventions ; • L’incohérence et l’inefficience des mécanismes de financement du développement territorial accentuées par l’insuffisance des moyens. En effet, le contexte et la faiblesse de ces politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, entrainent la nécessité d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de réaliser des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement territorial harmonieux et durable. Ainsi les autorités se sont engagées dans une nouvelle réforme de la décentralisation avec l’adoption d’une nouvelle loi dénommée Acte 3 de la décentralisation. Cette réforme constitutive des différentes étapes dont les plus importantes sont : • Faire le bilan de la politique de décentralisation au Sénégal afin d’ouvrir un chemin pour un véritable développement ; • Lancer « l’option de territorialisation des politiques publiques de développement, avec la Casamance comme pôle test. C’est dans ce contexte que s’inscrit l’élaboration de ce plan de développement Communal (PDC) de Ziguinchor.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31225 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30987 114/AGE/30987 Rapport Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Documents numériques
![]()
Pdc_Zigunchor_2018.pdfAdobe Acrobat PDF PermalinkProgramme énergie environnement développement / ENDA Energie
Permalink