Il est établi, d'une manière générale que l'école, grâce au faisceau de connaissances et de savoir qu'elle prodigue aux citoyens opère en eux une ouverture de coeur et d'esprit leur permettant ainsi de mieux s'intégrer dans leur société et de participer harmonieusement à ses mutations socio-économiques qualitatives. Sous ce rapport, le développement économique et social d'un pays repose sur un système éducatif efficace et permanant. Cela, le gouvernement du Sénégal l'a bien compris car il s'est donné comme préoccupations majeures l'accès universel à l'école et la qualité de l'enseignement. Mieux, il a souscrit à l'objectif de scolarisation universelle en l'an 2000 à l'occation de la conférence mondiale sur l'éducation pour tous en mars 1990 à Jomtien (Thailande) et du sommet mondial pour les enfants à New-York en septembre 1990. Cependant, une chose est de souscrire à un objectif noble, une autre est de  pouvoir le matérialiser dans les faits. Dans le du Sénégal, l'observation attentive du secteur éducatif indique que, à quelques encablures de l'an 2000, non seulement l'objectif ci-dessus évoqué auquel le gouvernement a souscrit est loin d'être atteint, mais également l'ensemble du secteur est empêtré dans une crise, qui n'est entre autres qu'une des multiples facettes de retentissement des politiques d'ajustement structurel et de la dévaluation du Franc CFA appliquées au Sénégal.

Il est établi, d'une manière générale que l'école, grâce au faisceau de connaissances et de savoir qu'elle prodigue aux citoyens opère en eux une ouverture de coeur et d'esprit leur permettant ainsi de mieux s'intégrer dans leur société et de participer harmonieusement à ses mutations socio-économiques qualitatives. Sous ce rapport, le développement économique et social d'un pays repose sur un système éducatif efficace et permanant. Cela, le gouvernement du Sénégal l'a bien compris car il s'est donné comme préoccupations majeures l'accès universel à l'école et la qualité de l'enseignement. Mieux, il a souscrit à l'objectif de scolarisation universelle en l'an 2000 à l'occation de la conférence mondiale sur l'éducation pour tous en mars 1990 à Jomtien (Thailande) et du sommet mondial pour les enfants à New-York en septembre 1990. Cependant, une chose est de souscrire à un objectif noble, une autre est de  pouvoir le matérialiser dans les faits. Dans le du Sénégal, l'observation attentive du secteur éducatif indique que, à quelques encablures de l'an 2000, non seulement l'objectif ci-dessus évoqué auquel le gouvernement a souscrit est loin d'être atteint, mais également l'ensemble du secteur est empêtré dans une crise, qui n'est entre autres qu'une des multiples facettes de retentissement des politiques d'ajustement structurel et de la dévaluation du Franc CFA appliquées au Sénégal.