Titre :	Cultures intensives et traditionnelles et périmètres irrigués dans le cercle d'Azrou
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	M. S. AOUISSI ; K. BENAFIA ; E. B. NADOR
Congrès :	Session de formation sur l'aménagement des campagnes et sur l'environnement rural au Maghreb (30; 12 Mai-3 Juin 1972; Rabat, Maroc)
Editeur :	Enda tiers monde
Année de publication :	1972
Collection :	ENRMA
Importance :	7p
Langues :	Français
Mots-clés :	CULTURE MARAICHERE  IRRIGATION  CULTURE AGRICOLE  TERRE IRRIGUEE  TECHNOLOGIE HYDRAULIQUE
Résumé :	La pratique des cultures intensives quasi exclusives aux étrangers est un fait frappant. Dans le cas des petites propriétés, les frais d'une agriculture moderne ne peuvent pas être supportés par le propriétaire. En effet, c'est le cas de nombreux habitants qui préfèrent cultiver du blé et de l'orge, donner leur propriété à un " Khammas ". Cependant même de grands propriétaires préfèrent le Khammas au Rabaa. Ce dernier pratiquant le maraîchage exige plus de frais et donne peu de garanties quant au bénéfice. Il semble pourtant qu'un manque de technicité, une méconnaissance des potentialités du sol, la pratique de l'élevage extensif et le caractère vivrier des céréales sont à l'origine du retard en matière de cultures fourragères, maraîchères et d'arboricultures.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14761

Cultures intensives et traditionnelles et périmètres irrigués dans le cercle d'Azrou [texte imprimé] / M. S. AOUISSI ; K. BENAFIA ; E. B. NADOR / Session de formation sur l'aménagement des campagnes et sur l'environnement rural au Maghreb (30; 12 Mai-3 Juin 1972; Rabat, Maroc) . - [S.l.] : Enda tiers monde, 1972 . - 7p. - (ENRMA) .
Langues : Français

Mots-clés :	CULTURE MARAICHERE  IRRIGATION  CULTURE AGRICOLE  TERRE IRRIGUEE  TECHNOLOGIE HYDRAULIQUE
Résumé :	La pratique des cultures intensives quasi exclusives aux étrangers est un fait frappant. Dans le cas des petites propriétés, les frais d'une agriculture moderne ne peuvent pas être supportés par le propriétaire. En effet, c'est le cas de nombreux habitants qui préfèrent cultiver du blé et de l'orge, donner leur propriété à un " Khammas ". Cependant même de grands propriétaires préfèrent le Khammas au Rabaa. Ce dernier pratiquant le maraîchage exige plus de frais et donne peu de garanties quant au bénéfice. Il semble pourtant qu'un manque de technicité, une méconnaissance des potentialités du sol, la pratique de l'élevage extensif et le caractère vivrier des céréales sont à l'origine du retard en matière de cultures fourragères, maraîchères et d'arboricultures.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14761