Titre : | Les ailes du Sahel : Zones humides et oiseaux migrateurs dans un environnement en mutation | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Leo ZWARTS, Auteur ; Rob G. BIJLSMA, Auteur ; Jan van der KAMP, Auteur ; Benoît PAEPEGAEY, Traducteur | Editeur : | KNNV Publishing | Année de publication : | 2012 | Importance : | 564 p. | Présentation : | Couv.ill. en coul. | Format : | Grand | ISBN/ISSN/EAN : | 978-90-5011-412-7 | Note générale : | Don de l'UICN | Langues : | Français | Catégories : | AFRIQUE SUB-SAHARIENNE ANIMAUX DESERTIFICATION ENVIRONNEMENT FLEUVE RIZIERE Savane SECHERESSE VEGETATION ZONE HUMIDE
| Mots-clés : | Ornithologie | Index. décimale : | 433.23-OISEAUX | Résumé : | Parmi les 500 et quelques espéces nichant en europe pourun total de 1 300 à 2 600 millons de couples, environ un quart migre vers le SUD jusqu'en Afrique sub-saharienne. Ces migrateurs passent l'essentiel de leur vie en Afrique et ne retournent vert le nord que pour nicher. Le systémemigratoire Paléarctique-Afrique draine des oiseaux provenant d'Europe, mais également d'Asie, jusqu'à la Sibérieorientale. Les migrateurs au long cours de cette vasterégion, à l'exceotion de ceux qui hivernent en Asie du sud, pénétrent en Afrique Sub-Saharienne. Ils ne s'y répartissent pas régulérement, mais se concentrent princioalement dans les savanes au nord de l'équateur, et évitentles forêts équitoriales.Ces savanes au nord sont séches pendat l'hiverboréal: les derniéres pluies ytombent en septembre et octobre. Les conditions deviennent donc de plus en plus arides chaque jour, et ce n'est qu'aprésle départ de la plupart des oiseaux paléarctiques survivants, entre mars et mai, que les pluies reprennent. Ainsi, ce sont dans les régions tropicales au nord de l'équateur, là où la végétation est la plus desséchée, et où les esoirs de précipitations sont les plus fiables, que se rencontrent les plus fortes densités d'oiseaux paléarctiques. Leur survie dépend de l'intensité des précipitations pendant la courte saison des pluies, de l'ampleur des crues dans les zones inondables et de l'étendue de la végétation verdoyante.
| Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29152 |
Les ailes du Sahel : Zones humides et oiseaux migrateurs dans un environnement en mutation [texte imprimé] / Leo ZWARTS, Auteur ; Rob G. BIJLSMA, Auteur ; Jan van der KAMP, Auteur ; Benoît PAEPEGAEY, Traducteur . - [S.l.] : KNNV Publishing, 2012 . - 564 p. : Couv.ill. en coul. ; Grand. ISBN : 978-90-5011-412-7 Don de l'UICN Langues : Français Catégories : | AFRIQUE SUB-SAHARIENNE ANIMAUX DESERTIFICATION ENVIRONNEMENT FLEUVE RIZIERE Savane SECHERESSE VEGETATION ZONE HUMIDE
| Mots-clés : | Ornithologie | Index. décimale : | 433.23-OISEAUX | Résumé : | Parmi les 500 et quelques espéces nichant en europe pourun total de 1 300 à 2 600 millons de couples, environ un quart migre vers le SUD jusqu'en Afrique sub-saharienne. Ces migrateurs passent l'essentiel de leur vie en Afrique et ne retournent vert le nord que pour nicher. Le systémemigratoire Paléarctique-Afrique draine des oiseaux provenant d'Europe, mais également d'Asie, jusqu'à la Sibérieorientale. Les migrateurs au long cours de cette vasterégion, à l'exceotion de ceux qui hivernent en Asie du sud, pénétrent en Afrique Sub-Saharienne. Ils ne s'y répartissent pas régulérement, mais se concentrent princioalement dans les savanes au nord de l'équateur, et évitentles forêts équitoriales.Ces savanes au nord sont séches pendat l'hiverboréal: les derniéres pluies ytombent en septembre et octobre. Les conditions deviennent donc de plus en plus arides chaque jour, et ce n'est qu'aprésle départ de la plupart des oiseaux paléarctiques survivants, entre mars et mai, que les pluies reprennent. Ainsi, ce sont dans les régions tropicales au nord de l'équateur, là où la végétation est la plus desséchée, et où les esoirs de précipitations sont les plus fiables, que se rencontrent les plus fortes densités d'oiseaux paléarctiques. Leur survie dépend de l'intensité des précipitations pendant la courte saison des pluies, de l'ampleur des crues dans les zones inondables et de l'étendue de la végétation verdoyante.
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