Titre de série :	AFRICAN JOURNAL OF REPRODUCTIVE HEALTH = LA REVUE AFRICAINE DE LA SANTE REPRODUCTIVE
Titre :	Wealth Flow and Fertility Decline in Rural Kenya, 1981-92 : a Reassessment of the Evidence
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Thomas E. Jr DOW ; John KEKOVOLE ; Linda H. ARCHER
Année de publication :	1997/09
Importance :	Vol 1 ; N°2 (pp.41-66)
ISBN/ISSN/EAN :	1118-4841
Langues :	Anglais
Mots-clés :	TAUX DE STERILITE  REGIME MATRIMONIAL  ENFANT DESIRE  MILIEU RURAL  PLANIFICATION FAMILIALE  FECONDATION  CONCENTRATION ECONOMIQUE  BASE DE FERTILITE  AFRIQUE DE L'OUEST  KENYA
Résumé :	En 1981 et 1992 des questionnaires identiques mesurant les flux de richesses linéaires et latéraux et la concentration émotionnelle étaient adressés à des échantillons semblables de chefs de familles hommes dans le Kenyan rural. Les résultats de 1981, qui ont révélé de faibles traces de concentration économiques ou émotionnelle, allaient dans le sens du taux élevé de fertilité qui prévalait. En 1992, le taux de fertilité désiré et observé avait baissé de manière significative mais les niveaux de concentration mesuré à travers les questionnaires étaient restés essentiellement les mêmes. La question s'est donc posé de savoir si oui ou non notre méthode de mesure à double variable avait été de par trop rigide et avait failli à détecter les changements subtils dans le phénomène de concentration et/ou les effets simultanés d'autres variables indépendantes. Dans le but de résoudre ces problèmes, nous avons examiné à nouveau nos données de 1981 et de 1992 par la technique de régression. Les résultats laissent entendre que la contribution des flux de richesse et des variables de concentration émotionnelle indépendants dans l'explication de la variation du nombre d'enfant désirés par le chef de familles en milieu rural était assez limitée et était de l'ordre de sept à 10 pourcent en 1981 et de 10 à 18 pourcent en 1992. Cependant, nous notons que les variables indépendantes qui clarifient l'étude actuelle étaient largement de nature prévisionnelle, ayant beaucoup rapport à l'espoir de soutien de la part du futur enfant, à l'éducation, au régime matrimonial, à la prise en compte du conjoint, à la communication et au consensus dans les familles nombreuses et enfin, aux variables de planification familiale.
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AFRICAN JOURNAL OF REPRODUCTIVE HEALTH = LA REVUE AFRICAINE DE LA SANTE REPRODUCTIVE. Wealth Flow and Fertility Decline in Rural Kenya, 1981-92 : a Reassessment of the Evidence [texte imprimé] / Thomas E. Jr DOW ; John KEKOVOLE ; Linda H. ARCHER . - 1997/09 . - Vol 1 ; N°2 (pp.41-66).
ISSN : 1118-4841
Langues : Anglais

Mots-clés :	TAUX DE STERILITE  REGIME MATRIMONIAL  ENFANT DESIRE  MILIEU RURAL  PLANIFICATION FAMILIALE  FECONDATION  CONCENTRATION ECONOMIQUE  BASE DE FERTILITE  AFRIQUE DE L'OUEST  KENYA
Résumé :	En 1981 et 1992 des questionnaires identiques mesurant les flux de richesses linéaires et latéraux et la concentration émotionnelle étaient adressés à des échantillons semblables de chefs de familles hommes dans le Kenyan rural. Les résultats de 1981, qui ont révélé de faibles traces de concentration économiques ou émotionnelle, allaient dans le sens du taux élevé de fertilité qui prévalait. En 1992, le taux de fertilité désiré et observé avait baissé de manière significative mais les niveaux de concentration mesuré à travers les questionnaires étaient restés essentiellement les mêmes. La question s'est donc posé de savoir si oui ou non notre méthode de mesure à double variable avait été de par trop rigide et avait failli à détecter les changements subtils dans le phénomène de concentration et/ou les effets simultanés d'autres variables indépendantes. Dans le but de résoudre ces problèmes, nous avons examiné à nouveau nos données de 1981 et de 1992 par la technique de régression. Les résultats laissent entendre que la contribution des flux de richesse et des variables de concentration émotionnelle indépendants dans l'explication de la variation du nombre d'enfant désirés par le chef de familles en milieu rural était assez limitée et était de l'ordre de sept à 10 pourcent en 1981 et de 10 à 18 pourcent en 1992. Cependant, nous notons que les variables indépendantes qui clarifient l'étude actuelle étaient largement de nature prévisionnelle, ayant beaucoup rapport à l'espoir de soutien de la part du futur enfant, à l'éducation, au régime matrimonial, à la prise en compte du conjoint, à la communication et au consensus dans les familles nombreuses et enfin, aux variables de planification familiale.
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