Enda a entamé en 2006 un processus de réflexion interne qui doit, à terme, permettre à son Secrétariat Exécutif de définir de nouveaux instruments de pilotage, des indicateurs de performance et autres outils de mesure de son action en faveur du changement social. Pour ce faire, à la suite du long processus d'introspection Mouya Yara (2002-2004) qui lui avait permis de faire un lent et patient travail de diagnostic à l'interne, Enda devra encore mieux faire connaissance avec ses propres logiques de fonctionnement. Autrement dit, il lui faudra maîtriser l'information, au sens d'une rationalisation des relations entre ses différentes composantes, établir un système de contrôle permanent pour mesurer les effets des politiques mises en ouvre (suivi & auto évaluation) et enfin s'étalonner, c'est-à-dire pouvoir situer ses performances grâce à des outils adaptés élaborés à cet effet, dans un contexte national et international en perpétuel mouvement. Tel est le prix de la transparence qui fonde le management participatif et la gouvernance prônés au sein même de l'organisation et promus dans toutes ses modalités d'intervention. Car, la gouvernance démocratique et participative a des liens évidents avec le développement durable. Et la question essentielle, qui reste très ouverte, est celle de l'état dans lequel les générations futures trouveront nos sociétés. Seule la paix peut les rendre vivables. Seule le développement économique peut les rendre viables. Seule la gestion environnementale peut les rendre durables. Seule une citoyenneté active des femmes, des jeunes et des groupes défavorisés d'une manière générale, peut les rendre véritablement inclusives et démocratiques. C'est à la réalisation de tous ces desseins qu'Enda Tiers Monde tente d'apporter sa contribution, à travers les interventions multiformes présentées dans ce Rapport Annuel 2006 intitulé, pour toutes ces raisons, Alternatives pour le développement durable.

Enda a entamé en 2006 un processus de réflexion interne qui doit, à terme, permettre à son Secrétariat Exécutif de définir de nouveaux instruments de pilotage, des indicateurs de performance et autres outils de mesure de son action en faveur du changement social. Pour ce faire, à la suite du long processus d'introspection Mouya Yara (2002-2004) qui lui avait permis de faire un lent et patient travail de diagnostic à l'interne, Enda devra encore mieux faire connaissance avec ses propres logiques de fonctionnement. Autrement dit, il lui faudra maîtriser l'information, au sens d'une rationalisation des relations entre ses différentes composantes, établir un système de contrôle permanent pour mesurer les effets des politiques mises en ouvre (suivi & auto évaluation) et enfin s'étalonner, c'est-à-dire pouvoir situer ses performances grâce à des outils adaptés élaborés à cet effet, dans un contexte national et international en perpétuel mouvement. Tel est le prix de la transparence qui fonde le management participatif et la gouvernance prônés au sein même de l'organisation et promus dans toutes ses modalités d'intervention. Car, la gouvernance démocratique et participative a des liens évidents avec le développement durable. Et la question essentielle, qui reste très ouverte, est celle de l'état dans lequel les générations futures trouveront nos sociétés. Seule la paix peut les rendre vivables. Seule le développement économique peut les rendre viables. Seule la gestion environnementale peut les rendre durables. Seule une citoyenneté active des femmes, des jeunes et des groupes défavorisés d'une manière générale, peut les rendre véritablement inclusives et démocratiques. C'est à la réalisation de tous ces desseins qu'Enda Tiers Monde tente d'apporter sa contribution, à travers les interventions multiformes présentées dans ce Rapport Annuel 2006 intitulé, pour toutes ces raisons, Alternatives pour le développement durable.