Résumé : | Les travaux conduits cette année démontrent qu'une meilleure connaissance des enjeux du développement durable nécessite d'avoir recours à de nouvelles catégories que ce soit dans le domaine de l'accès aux services énergétiques ou dans celui de la vulnérabilité aux changements climatiques ou à la désertification. Les solutions alternatives pour satisfaire les besoins de base des populations ne peuvent se calquer sur les classifications traditionnelles. Ces investigations ne sont pertinentes qu'à partir du moment où nécessite en même temps qu'on dispose des instruments de mesures de ces réductions. Cela vaut à toutes les échelles : du local à l'international, sans oublier les intégrations régionales. Si les alternatives prouvées d'Enda sont alors reconnues comme de bonnes pratiques, la priorité est de mettre l'accent sur les actions de sensibilisations, la mise à des positions d'outils pratiques la formation, l'activation d'échanges et de réseaux de dialogue politique. Cela permet étape par étape un changement d'échelle à savoir permettre à une plus grande masse d'acteurs de tous les niveaux d'être présente et opérationnelle dans les champs de l'écodéveloppement, de l'accès à l'énergie et de la vulnérabilité à l'adaptation aux effets néfastes des changements climatiques de la désertification. |