La violence physique et sa médiatisation donnent une image forte de l`horreur : les visages en sang, le corps mutilés, les funérailles dans la douleur et dans la colère sont les signes visibles d`une épouvantable spirale meurtrière. Mais il y a aussi la violence psychologique, celle qu`on ne voit pas à la télévision et dont on parle peu dans les journaux. Parce ce qu`elle est sournoise, peu spectaculaire, presque directe. Et que ses effets se lisent plutôt dans les yeux des victimes ou se découvrent dans ce qu`ils disent.

La violence physique et sa médiatisation donnent une image forte de l`horreur : les visages en sang, le corps mutilés, les funérailles dans la douleur et dans la colère sont les signes visibles d`une épouvantable spirale meurtrière. Mais il y a aussi la violence psychologique, celle qu`on ne voit pas à la télévision et dont on parle peu dans les journaux. Parce ce qu`elle est sournoise, peu spectaculaire, presque directe. Et que ses effets se lisent plutôt dans les yeux des victimes ou se découvrent dans ce qu`ils disent.