Titre :	Dakar sans rivages
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jacques BUGNICOURT
Editeur :	Enda tiers monde
Année de publication :	1982
Importance :	p31-48
Langues :	Français
Mots-clés :	URBANISATION  HABITAT  VILLE  ECONOMIE  POPULATION  BIDONVILLE  ZONE URBAINE  SENEGAL  DAKAR
Résumé :	Ce texte est une lecture plurielle d'une ville du Tiers Monde : Dakar. L'auteur procède à une identification des formes urbaines pour permettre une ou des lectures plus aisées de Dakar. Ainsi, si l'on privilègie l'approche environnementale, on peut constater trois milieux différents : le mimétique, l'infra-urbain et l'intermédiaire. C'est là une traduction dans les formes de l'habitat des disparités socio-économiques. La lecture de la ville peut aussi être coloniale ou indépendante. Dans l'un ou l'autre cas, elle est idéologique. Mais de plus en plus, la lecture populaire s'impose car la majorité de la population, défiant tous les plans directeurs et autre politique urbanistique, imprime sa propre marque à l'habitat. Dakar peut également être appréhendé en termes d'islam, d'économie et de pouvoir. Mais par delà toutes ces lectures, n'est-il pas possible de les fédérer à travers les dynamiques conflictuelles qui s'expriment dans le milieu urbain ? Décidément, Dakar est sans bornes, sans... rivages. (ENDA)
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Dakar sans rivages [texte imprimé] / Jacques BUGNICOURT . - [S.l.] : Enda tiers monde, 1982 . - p31-48.
Langues : Français

Mots-clés :	URBANISATION  HABITAT  VILLE  ECONOMIE  POPULATION  BIDONVILLE  ZONE URBAINE  SENEGAL  DAKAR
Résumé :	Ce texte est une lecture plurielle d'une ville du Tiers Monde : Dakar. L'auteur procède à une identification des formes urbaines pour permettre une ou des lectures plus aisées de Dakar. Ainsi, si l'on privilègie l'approche environnementale, on peut constater trois milieux différents : le mimétique, l'infra-urbain et l'intermédiaire. C'est là une traduction dans les formes de l'habitat des disparités socio-économiques. La lecture de la ville peut aussi être coloniale ou indépendante. Dans l'un ou l'autre cas, elle est idéologique. Mais de plus en plus, la lecture populaire s'impose car la majorité de la population, défiant tous les plans directeurs et autre politique urbanistique, imprime sa propre marque à l'habitat. Dakar peut également être appréhendé en termes d'islam, d'économie et de pouvoir. Mais par delà toutes ces lectures, n'est-il pas possible de les fédérer à travers les dynamiques conflictuelles qui s'expriment dans le milieu urbain ? Décidément, Dakar est sans bornes, sans... rivages. (ENDA)
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