Titre : | La violence de l'histoire : les sociétés contemporaines à l'épreuve du sens | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Philippe ENGELHARD | Editeur : | ARLEA | Année de publication : | 2001 | Collection : | Essais | Importance : | 356 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86959-522-4 | Langues : | Français | Mots-clés : | HISTOIRE PHILOSOPHIE ECONOMIE CAPITALISME ETHIQUE JUSTICE DROITS DE L'HOMME PAUVRETE CULTURE - SOCIETE | Résumé : | La mondialisation constitue le dernier stade d'une modernité qui n'est plus l'apanage exclusif de l'Occident. Si la pauvreté triomphe au Sud, ce n'est pas la mondialisation qui est coupable, c'est notre incapacité à susciter de nouvelles façons de vivre ensemble. La pauvreté massive est le vrai problème du monde. Pour le comprendre, il faut repenser le capitalisme et l'éthique, deux problèmes solidaires : le capitalisme ne peut survivre que s'il est régulé par le droit, et ne peut fonctionner sans un minimum d'éthique. Ces règles n'ont de sens que si l'économie mondialisée et nos sociétés sont capables d'un minimum de justice, une exigence d'autant plus grande pour lutter contre les stigmates de la violence de l'histoire. L'ouvrage se divise en quatre chapitres qui peuvent être lus indépendamment : une introduction à la symbolique, qui est une dimension fondamentale des sociétés et des cultures ; l'idée de violence récurrente qui réside pour une part importante dans les violences passées ; l'exigence de la création symbolique du droit et de l'éthique ; et le devoir de justice. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3156 |
La violence de l'histoire : les sociétés contemporaines à l'épreuve du sens [texte imprimé] / Philippe ENGELHARD . - [S.l.] : ARLEA, 2001 . - 356 p.. - ( Essais) . ISBN : 978-2-86959-522-4 Langues : Français Mots-clés : | HISTOIRE PHILOSOPHIE ECONOMIE CAPITALISME ETHIQUE JUSTICE DROITS DE L'HOMME PAUVRETE CULTURE - SOCIETE | Résumé : | La mondialisation constitue le dernier stade d'une modernité qui n'est plus l'apanage exclusif de l'Occident. Si la pauvreté triomphe au Sud, ce n'est pas la mondialisation qui est coupable, c'est notre incapacité à susciter de nouvelles façons de vivre ensemble. La pauvreté massive est le vrai problème du monde. Pour le comprendre, il faut repenser le capitalisme et l'éthique, deux problèmes solidaires : le capitalisme ne peut survivre que s'il est régulé par le droit, et ne peut fonctionner sans un minimum d'éthique. Ces règles n'ont de sens que si l'économie mondialisée et nos sociétés sont capables d'un minimum de justice, une exigence d'autant plus grande pour lutter contre les stigmates de la violence de l'histoire. L'ouvrage se divise en quatre chapitres qui peuvent être lus indépendamment : une introduction à la symbolique, qui est une dimension fondamentale des sociétés et des cultures ; l'idée de violence récurrente qui réside pour une part importante dans les violences passées ; l'exigence de la création symbolique du droit et de l'éthique ; et le devoir de justice. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3156 |
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