Titre : | Plan local de développement de Diembering | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | COMMUNAUTE RURALE DE DIEMBERING, Auteur | Editeur : | COMMUNAUTE RURALE DE DIEMBERING | Importance : | 155p. | Langues : | Français | Catégories : | ADMINISTRATION LOCALE COLLECTIVITES RURALES DEVELOPPEMENT DE L'EDUCATION DEVELOPPEMENT DES COLLECTIVITES DEVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DEVELOPPEMENT HUMAIN DEVELOPPEMENT LOCAL DEVELOPPEMENT RURAL
| Mots-clés : | Promotion sociale/ milieu rural/ évolution institutionnelle | Index. décimale : | 114 DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE, PLANS NATIONAUX, QUINQUENNAUX, COMPTABILITÉ NATIONALE, PRODUCTIVITÉ NATIONALE, DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE INTÉGRÉ, PLANIFICATION DU DÉVELOPPEMENT, AJUSTEMENT STRUCTUREL, DÉVELOPPEMENT LOCAL, CEAO; CEDEAO | Résumé : | Au début des années 1960, la gestion centralisée du pouvoir était une option politique fondamentale des pouvoirs publics. Elle s’est traduite par un découpage du territoire national en entités administratives à la tête desquelles se trouvaient des administrateurs chargés d’asseoir l’autorité et favoriser la promotion sociale et économique des administrés. Ces choix, fondés sur une approche centralisatrice de la politique de développement ont sinon totalement exclu, du moins faiblement impliqué les populations bénéficiaires, surtout en milieu rural, dans le processus d’identification et de mise en œuvre des actions de développement. Par conséquent, ils n’étaient pas indiqués pour impulser l’essor socioéconomique des localités rurales. L’évolution institutionnelle en la matière remonte à l’époque coloniale avec la mise en place de quatre communes urbaines que sont Gorée, Saint-Louis, Rufisque et Dakar. A l’indépendance en 1960, le statut de commune de plein exercice est élargi à toutes les communes. En 1966, la loi 66-64 du 30 juin 1966 (code de l’administration communale) procède à une mise en ordre en réunissant dans un texte unique de référence les lois régissant les institutions municipales. C’est seulement en 1972 que la décentralisation fut élargie aux zones rurales avec la promulgation des lois 72-02 et 75-25, sous forme toutefois limitative. En effet, malgré la mise en place du Conseil Rural, c’était encore le Sous-Préfet qui préparait et exécutait le budget, en tant qu’ordonnateur des crédits. Ce pouvoir ne sera atténué qu’en 1990 à travers la loi 90-37 qui confère désormais la compétence de la gestion financière des communautés rurales aux Présidents des CR. Cependant, les compétences des CR en matière de développement local restaient peu claires. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31236 |
Plan local de développement de Diembering [texte imprimé] / COMMUNAUTE RURALE DE DIEMBERING, Auteur . - [S.l.] : COMMUNAUTE RURALE DE DIEMBERING, [s.d.] . - 155p. Langues : Français Catégories : | ADMINISTRATION LOCALE COLLECTIVITES RURALES DEVELOPPEMENT DE L'EDUCATION DEVELOPPEMENT DES COLLECTIVITES DEVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DEVELOPPEMENT HUMAIN DEVELOPPEMENT LOCAL DEVELOPPEMENT RURAL
| Mots-clés : | Promotion sociale/ milieu rural/ évolution institutionnelle | Index. décimale : | 114 DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE, PLANS NATIONAUX, QUINQUENNAUX, COMPTABILITÉ NATIONALE, PRODUCTIVITÉ NATIONALE, DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE INTÉGRÉ, PLANIFICATION DU DÉVELOPPEMENT, AJUSTEMENT STRUCTUREL, DÉVELOPPEMENT LOCAL, CEAO; CEDEAO | Résumé : | Au début des années 1960, la gestion centralisée du pouvoir était une option politique fondamentale des pouvoirs publics. Elle s’est traduite par un découpage du territoire national en entités administratives à la tête desquelles se trouvaient des administrateurs chargés d’asseoir l’autorité et favoriser la promotion sociale et économique des administrés. Ces choix, fondés sur une approche centralisatrice de la politique de développement ont sinon totalement exclu, du moins faiblement impliqué les populations bénéficiaires, surtout en milieu rural, dans le processus d’identification et de mise en œuvre des actions de développement. Par conséquent, ils n’étaient pas indiqués pour impulser l’essor socioéconomique des localités rurales. L’évolution institutionnelle en la matière remonte à l’époque coloniale avec la mise en place de quatre communes urbaines que sont Gorée, Saint-Louis, Rufisque et Dakar. A l’indépendance en 1960, le statut de commune de plein exercice est élargi à toutes les communes. En 1966, la loi 66-64 du 30 juin 1966 (code de l’administration communale) procède à une mise en ordre en réunissant dans un texte unique de référence les lois régissant les institutions municipales. C’est seulement en 1972 que la décentralisation fut élargie aux zones rurales avec la promulgation des lois 72-02 et 75-25, sous forme toutefois limitative. En effet, malgré la mise en place du Conseil Rural, c’était encore le Sous-Préfet qui préparait et exécutait le budget, en tant qu’ordonnateur des crédits. Ce pouvoir ne sera atténué qu’en 1990 à travers la loi 90-37 qui confère désormais la compétence de la gestion financière des communautés rurales aux Présidents des CR. Cependant, les compétences des CR en matière de développement local restaient peu claires. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31236 |
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