Titre : | PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL (PDC) DE MLOMP OUSSOUYE : Version finale | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur | Année de publication : | Juin 2018 | Importance : | 80 p | Langues : | Français | Catégories : | COLLECTIVITES COLLECTIVITES LOCALES COMMUNAUTÉ RURALE COMMUNES DECENTRALISATION DEVELOPPEMENT DURABLE PLANIFICATION LOCALE POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT POLITIQUE PUBLIQUE SENEGAL
| Mots-clés : | MLOMP/ OUSSOUYE/ ZIGUINCHOR | Résumé : | La commune de Mlomp se situe dans le Département d’Oussouye (891 Km²) et dans l’Arrondissement de Loudia Wolof (517 km²) qui compte deux Communes (Oukout et MLomp). La Commune de Mlomp étant la plus vaste avec 337 km², occupe 65,18% de la surface de l’arrondissement et 37,82% de celle du département. Elle est limitée : Au Nord par le fleuve Casamance ; Au Sud par la Commune d’Oukout ; A l’Ouest par la Commune de Diembering ; A l’Est par la Commune d’Enampore. Dès son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal a opté pour une politique de décentralisation prudente, progressive et irréversible. Cette option s’est confirmée au cours des différentes phases qui ont marqué cette politique. En effet, la décentralisation s’affirme déjà dès le début l’indépendance en 1960, le nombre de communes passe progressivement à 37 puis à 48, tandis que les communes à statut spécial (les « communes mixtes ») disparaissent. Par ailleurs, la loi 72-25 du 25-04-1972 institue les « communautés rurales » (CR) dans le but de se rapprocher davantage l’Administration des citoyens et de créer de véritables centres de développement. Leur administration est cependant confiée à un sous-préfet. Enfin, une communauté urbaine (CU) de Dakar est créée en 1983, qui sera dissoute en 2001. La décentralisation se poursuit avec des réformes successives jusqu’au tournant décisif de 1996, marqué par la création de 12 nouvelles Communes et, surtout, par l’adoption de plusieurs textes importants, dont la loi 96-06 du 22 mars 1996 portant Code des collectivités locales et la loi 96-07 du 22 mars 1996 relative au transfert de compétences aux collectivités locales. La Constitution de 2001 consacre les avancées de 1996 en renforçant leur base constitutionnelle. Elle stipule notamment (titre XI, art. 102) que les collectivités locales « constituent le cadre institutionnel de la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques », « qu’elles s’administrent librement par des assemblées élues » et que « leur organisation, leur composition, leur fonctionnement sont déterminés par la loi ». Cependant, malgré les progrès et acquis enregistrés, beaucoup de faiblesses et de contraintes pèsent encore sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation. Le contexte et la faiblesse des politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, nécessitent, en conséquence, d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de produire simultanément des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement local harmonieux. Dans cette perspective, l’option est prise de construire, dans le cadre d’un dialogue consensuel et prospectif, le renouveau de la modernisation de l’État, à travers une décentralisation cohérente dans ses principes, et performante dans sa mise en œuvre. Aussi, le Gouvernement envisage-t-il la refondation majeure de l’action territoriale de l’État, à travers le projet de réforme de la décentralisation. L’objectif général, visé par cette réforme, baptisée « l’Acte III de la décentralisation », est « d’organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable ». Cette réforme plonge ses racines dans une véritable politique d’aménagement du territoire et oriente la concrétisation des aspirations et des espoirs des acteurs territoriaux, en vue de bâtir un projet de territoire. Elle offre l’espace adéquat pour construire les bases de la territorialisation des politiques publiques. L’actuel Plan Sénégal Émergent fait ressortir la nécessité pour chaque commune de dérouler un plan d’actions lui permettant d’apporter sa contribution à l’atteinte des objectifs de ce plan. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31221 |
PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL (PDC) DE MLOMP OUSSOUYE : Version finale [texte imprimé] / ’Agence Régionale de Développement de Ziguinchor (ARDZ), Auteur . - Juin 2018 . - 80 p. Langues : Français Catégories : | COLLECTIVITES COLLECTIVITES LOCALES COMMUNAUTÉ RURALE COMMUNES DECENTRALISATION DEVELOPPEMENT DURABLE PLANIFICATION LOCALE POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT POLITIQUE PUBLIQUE SENEGAL
| Mots-clés : | MLOMP/ OUSSOUYE/ ZIGUINCHOR | Résumé : | La commune de Mlomp se situe dans le Département d’Oussouye (891 Km²) et dans l’Arrondissement de Loudia Wolof (517 km²) qui compte deux Communes (Oukout et MLomp). La Commune de Mlomp étant la plus vaste avec 337 km², occupe 65,18% de la surface de l’arrondissement et 37,82% de celle du département. Elle est limitée : Au Nord par le fleuve Casamance ; Au Sud par la Commune d’Oukout ; A l’Ouest par la Commune de Diembering ; A l’Est par la Commune d’Enampore. Dès son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal a opté pour une politique de décentralisation prudente, progressive et irréversible. Cette option s’est confirmée au cours des différentes phases qui ont marqué cette politique. En effet, la décentralisation s’affirme déjà dès le début l’indépendance en 1960, le nombre de communes passe progressivement à 37 puis à 48, tandis que les communes à statut spécial (les « communes mixtes ») disparaissent. Par ailleurs, la loi 72-25 du 25-04-1972 institue les « communautés rurales » (CR) dans le but de se rapprocher davantage l’Administration des citoyens et de créer de véritables centres de développement. Leur administration est cependant confiée à un sous-préfet. Enfin, une communauté urbaine (CU) de Dakar est créée en 1983, qui sera dissoute en 2001. La décentralisation se poursuit avec des réformes successives jusqu’au tournant décisif de 1996, marqué par la création de 12 nouvelles Communes et, surtout, par l’adoption de plusieurs textes importants, dont la loi 96-06 du 22 mars 1996 portant Code des collectivités locales et la loi 96-07 du 22 mars 1996 relative au transfert de compétences aux collectivités locales. La Constitution de 2001 consacre les avancées de 1996 en renforçant leur base constitutionnelle. Elle stipule notamment (titre XI, art. 102) que les collectivités locales « constituent le cadre institutionnel de la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques », « qu’elles s’administrent librement par des assemblées élues » et que « leur organisation, leur composition, leur fonctionnement sont déterminés par la loi ». Cependant, malgré les progrès et acquis enregistrés, beaucoup de faiblesses et de contraintes pèsent encore sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation. Le contexte et la faiblesse des politiques et stratégies de développement appliquées jusque-là, nécessitent, en conséquence, d’initier des alternatives susceptibles de corriger les déficiences et de produire simultanément des progrès significatifs à l’échelle nationale et un développement local harmonieux. Dans cette perspective, l’option est prise de construire, dans le cadre d’un dialogue consensuel et prospectif, le renouveau de la modernisation de l’État, à travers une décentralisation cohérente dans ses principes, et performante dans sa mise en œuvre. Aussi, le Gouvernement envisage-t-il la refondation majeure de l’action territoriale de l’État, à travers le projet de réforme de la décentralisation. L’objectif général, visé par cette réforme, baptisée « l’Acte III de la décentralisation », est « d’organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable ». Cette réforme plonge ses racines dans une véritable politique d’aménagement du territoire et oriente la concrétisation des aspirations et des espoirs des acteurs territoriaux, en vue de bâtir un projet de territoire. Elle offre l’espace adéquat pour construire les bases de la territorialisation des politiques publiques. L’actuel Plan Sénégal Émergent fait ressortir la nécessité pour chaque commune de dérouler un plan d’actions lui permettant d’apporter sa contribution à l’atteinte des objectifs de ce plan. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31221 |
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