Le conseil des relation internationals de Montréal (CORIM) a identifié L'Eau, ressource stratégique internationale comme son thème-cible pour 1995-96. Ce cycle a débuté avec l'organisation d'une table ronde le 14 Juin 1995. A cette occasion, il fut suggéré de s'inspirer des travaux du Groupe  de Lisbonne; celui-ci propose l'établissement d'un contrat à l'échelle planétaire spécifiant la reconnaissance mondiale du bien commun, prévoyant la constitution d'un groupe d'action pour la gestion de ce bien et l'établissement d'un protocole d'action pour un contrat mondial. Initialement, on cherche à regrouper un noyau de quelques villes autour d'un contrat sur l'eau; Montréal pourrait jouer un rôle de leader dans une telle démarche. L'atelier résulte d'un processus de réflexion ainsi que d'un mouvement de concertation initié par le CORIM et le Secretariat international de l'eau (SIE) . Visant à développer des solidarités entre les villes du monde et de nouvelles pratiques inspirées des concepts de gestion intégrée et de gestion par bassins versants, ce processus invite la participation de tous les acteurs Montréalais impliqués dans le domaine de l'eau. L'atelier souvre sur exposé traitant des enjeux et perspectives de la gestion intégrée de l'eau. Le défi à relever pour le 21ème siécle est d'abord identifié, les tendances et stratégies actuelles sont passées en revue, les divers contradictions sont relevées; quelques idées pour orienter le futur sont ensuite formulées. Un inventaire des ressources et compétences montréalaises en matière de gestion de l'eau intéressées ou engagées dans la coopération internationale a été dréssée préalablement à la tenue de l'atelier. Ces ressources et compétences ont été regroupées dans quatre secteurs: formation et recherche, secteur public et parapublic, ONG et groupes communautaires, secteur privé. Un représentant de chaque secteur présente les résultats de l'inventaire.

Le conseil des relation internationals de Montréal (CORIM) a identifié L'Eau, ressource stratégique internationale comme son thème-cible pour 1995-96. Ce cycle a débuté avec l'organisation d'une table ronde le 14 Juin 1995. A cette occasion, il fut suggéré de s'inspirer des travaux du Groupe  de Lisbonne; celui-ci propose l'établissement d'un contrat à l'échelle planétaire spécifiant la reconnaissance mondiale du bien commun, prévoyant la constitution d'un groupe d'action pour la gestion de ce bien et l'établissement d'un protocole d'action pour un contrat mondial. Initialement, on cherche à regrouper un noyau de quelques villes autour d'un contrat sur l'eau; Montréal pourrait jouer un rôle de leader dans une telle démarche. L'atelier résulte d'un processus de réflexion ainsi que d'un mouvement de concertation initié par le CORIM et le Secretariat international de l'eau (SIE) . Visant à développer des solidarités entre les villes du monde et de nouvelles pratiques inspirées des concepts de gestion intégrée et de gestion par bassins versants, ce processus invite la participation de tous les acteurs Montréalais impliqués dans le domaine de l'eau. L'atelier souvre sur exposé traitant des enjeux et perspectives de la gestion intégrée de l'eau. Le défi à relever pour le 21ème siécle est d'abord identifié, les tendances et stratégies actuelles sont passées en revue, les divers contradictions sont relevées; quelques idées pour orienter le futur sont ensuite formulées. Un inventaire des ressources et compétences montréalaises en matière de gestion de l'eau intéressées ou engagées dans la coopération internationale a été dréssée préalablement à la tenue de l'atelier. Ces ressources et compétences ont été regroupées dans quatre secteurs: formation et recherche, secteur public et parapublic, ONG et groupes communautaires, secteur privé. Un représentant de chaque secteur présente les résultats de l'inventaire.