Bien que le débat sur les TIC et le développement soit parfois teinté de scepticisme, le rôle des nouvelles technologies dans le processus de développement fait l'objet du'un consensus international qui va s'élargissant. Lors du sommet d'OKinawa   de juillet 2000, les membres du G8 ont adopté la charte D'Okinawa sur la société de l'information. Ce document traite de la fracture numérique entre le Nord et le Sud  et préconise une partipation mondiale à cette évolution. Il a créé également un groupe d'experts sur l'accès aux nouvelles technologies. Appeleré "GEANT", ce groupe a rédigé un rapport intitulé : " Digital opportunities for all : meeting the challenge ".qui est le fruit d'une collaboration inrtnationale unique en son genre, étalée sur plusieurs mois, à laquelle ont participer des représentants des pays du G8, de la commission eurpéenne, de pays en développement, d'organisations multilatérales, d'OGN et secteur privé. Le rapport énumère les devoirs et les missions de différents acteurs gouvernements nationaux, secteur privé, organisation de la privé, organisations de la société civile, organisations inetrnationales en vue de favoriser l'acccès universel aux nouvelles technologies.

Bien que le débat sur les TIC et le développement soit parfois teinté de scepticisme, le rôle des nouvelles technologies dans le processus de développement fait l'objet du'un consensus international qui va s'élargissant. Lors du sommet d'OKinawa   de juillet 2000, les membres du G8 ont adopté la charte D'Okinawa sur la société de l'information. Ce document traite de la fracture numérique entre le Nord et le Sud  et préconise une partipation mondiale à cette évolution. Il a créé également un groupe d'experts sur l'accès aux nouvelles technologies. Appeleré "GEANT", ce groupe a rédigé un rapport intitulé : " Digital opportunities for all : meeting the challenge ".qui est le fruit d'une collaboration inrtnationale unique en son genre, étalée sur plusieurs mois, à laquelle ont participer des représentants des pays du G8, de la commission eurpéenne, de pays en développement, d'organisations multilatérales, d'OGN et secteur privé. Le rapport énumère les devoirs et les missions de différents acteurs gouvernements nationaux, secteur privé, organisation de la privé, organisations de la société civile, organisations inetrnationales en vue de favoriser l'acccès universel aux nouvelles technologies.