Le système énergétique du Burkina à l’instar de ceux des autres pays sahéliens a la particularité d'avoir un bilan annuel, faisant l'état la production et la consommation d'énergie, tourné plus vers les énergies dites "énergies traditionnelles (bois, charbon de bois, résidus agricoles, bouse d'animaux)". Paradoxalement, ces énergies traditionnelles ne sont pas sujet à intérêt économique et/ou financier comme les énergies conventionnelles sur le plan national et mondial. Cependant, plusieurs études, analyses, diagnostics qui ont été menés de façon partielle et portant sur ces énergies ont révélés trois enjeux essentiels qui les entourent. Il s'agit de l’enjeu écologique, de l’enjeu social et enfin de l’enjeu économique. En effet, plus de 80% de la population du Burkina un pays à faible potentiel ligneux, particulièrement les couches les plus pauvres ont recours aux énergies traditionnelles pour satisfaire leur besoin énergétique de base. Par ailleurs, en dépit de leur particularité non marchande et de leur caractère informel, les énergies traditionnelles en tant que ressources nationales procurent aux populations vivant à l’intérieur ou à la périphérie des massifs forestiers, une source de revenu substantiel. En plus, la filière commerciale du bois et du charbon de bois généré des- emplois stables en milieu urbain et des recettes pour l'Etat. C'est conscient de ces enjeux que le gouvernement du Burkina Faso avec l'appui de ses partenaires au développement n'a cessé de déployer des efforts pour à une gestion moderne de ces énergies traditionnelles.

Le système énergétique du Burkina à l’instar de ceux des autres pays sahéliens a la particularité d'avoir un bilan annuel, faisant l'état la production et la consommation d'énergie, tourné plus vers les énergies dites "énergies traditionnelles (bois, charbon de bois, résidus agricoles, bouse d'animaux)". Paradoxalement, ces énergies traditionnelles ne sont pas sujet à intérêt économique et/ou financier comme les énergies conventionnelles sur le plan national et mondial. Cependant, plusieurs études, analyses, diagnostics qui ont été menés de façon partielle et portant sur ces énergies ont révélés trois enjeux essentiels qui les entourent. Il s'agit de l’enjeu écologique, de l’enjeu social et enfin de l’enjeu économique. En effet, plus de 80% de la population du Burkina un pays à faible potentiel ligneux, particulièrement les couches les plus pauvres ont recours aux énergies traditionnelles pour satisfaire leur besoin énergétique de base. Par ailleurs, en dépit de leur particularité non marchande et de leur caractère informel, les énergies traditionnelles en tant que ressources nationales procurent aux populations vivant à l’intérieur ou à la périphérie des massifs forestiers, une source de revenu substantiel. En plus, la filière commerciale du bois et du charbon de bois généré des- emplois stables en milieu urbain et des recettes pour l'Etat. C'est conscient de ces enjeux que le gouvernement du Burkina Faso avec l'appui de ses partenaires au développement n'a cessé de déployer des efforts pour à une gestion moderne de ces énergies traditionnelles.