Dans la plupart des pays africaine, les femmes contribuentndavantage que les hommes ) la production vivrière en tant que productrices, transformatrices et commerçantes. Mais les nombreuses inégalités qu'elles subissent et les contraintesqui pèsent sur elles, font que le role economique qu'elles jouent, est beaucoup plus limité qu'il ne devraitl'être. En effet alors qu'une bonne partie du développement de leur pays passe par elles, en particulier l'éducation des enfants, la santé des famille, la production vivrière, les femmes sont exclues de presque tout : l'éducation, la formation, le crédit le pouvoir, les ressources agricoles les technologies, la gestion de l'environnement etc.... Il leur est donc particulièrement difficile de s'engagerdans les activités génératrices de devenus, à part les petites activités traditionelles dans les marché ou à domicile, comme la  vente de beignets ou la fabrication de savon. De plusla loi est loin de les reconnaitre comme citoyennes a part entière : quand il y a des difficultés dans un ménage la femme est toujours celle quiest lésées, soit parce que la loile permet, ou plus couramment parce que, meme si la loi l'interdit, la femme ne connait pas ses droits.

Dans la plupart des pays africaine, les femmes contribuentndavantage que les hommes ) la production vivrière en tant que productrices, transformatrices et commerçantes. Mais les nombreuses inégalités qu'elles subissent et les contraintesqui pèsent sur elles, font que le role economique qu'elles jouent, est beaucoup plus limité qu'il ne devraitl'être. En effet alors qu'une bonne partie du développement de leur pays passe par elles, en particulier l'éducation des enfants, la santé des famille, la production vivrière, les femmes sont exclues de presque tout : l'éducation, la formation, le crédit le pouvoir, les ressources agricoles les technologies, la gestion de l'environnement etc.... Il leur est donc particulièrement difficile de s'engagerdans les activités génératrices de devenus, à part les petites activités traditionelles dans les marché ou à domicile, comme la  vente de beignets ou la fabrication de savon. De plusla loi est loin de les reconnaitre comme citoyennes a part entière : quand il y a des difficultés dans un ménage la femme est toujours celle quiest lésées, soit parce que la loile permet, ou plus couramment parce que, meme si la loi l'interdit, la femme ne connait pas ses droits.