Dans de nombreux pays africains, la question de la fertilité des terres est aux coeurs des debats sur la développement rural et donc sur l'avenir de l'agriculture. On entend souvant les paysans dire que "la terre ne donne plus comme avant". Lees techniciens eux parlent de "chute des rendements" et de "baisse de taux de matière organique". Quels que soient les mots empoiyés, le probleme est le même : comment maintenirla fertilité des sols ou la restaurer quand elleest perdue? La croissance démongraphique qui pousse àréduirela durée des jachéres et donc, à mettre en culture des terres marginales est souvant mise au banc des acusés comme la grande destructrice de fertilite. De plus malgreles recommendations de la recherche et les efforts des projets, les quantités d'engrais employés demeurent insuffisantes ou inadéquates : Ainsi la pratique d'epandage du fulier progresse mais pas assez vite par rapport aux besion. Quant aux engrais chimiques ils sont souvant trop chers pour le paysan moyen.

Dans de nombreux pays africains, la question de la fertilité des terres est aux coeurs des debats sur la développement rural et donc sur l'avenir de l'agriculture. On entend souvant les paysans dire que "la terre ne donne plus comme avant". Lees techniciens eux parlent de "chute des rendements" et de "baisse de taux de matière organique". Quels que soient les mots empoiyés, le probleme est le même : comment maintenirla fertilité des sols ou la restaurer quand elleest perdue? La croissance démongraphique qui pousse àréduirela durée des jachéres et donc, à mettre en culture des terres marginales est souvant mise au banc des acusés comme la grande destructrice de fertilite. De plus malgreles recommendations de la recherche et les efforts des projets, les quantités d'engrais employés demeurent insuffisantes ou inadéquates : Ainsi la pratique d'epandage du fulier progresse mais pas assez vite par rapport aux besion. Quant aux engrais chimiques ils sont souvant trop chers pour le paysan moyen.