La filière arachide au Sénégal traverse une des plus grave crises de son histoire. S'il est exagéré de parler  de sa disparution, il  est clair qu'elle joue de moins en moins son rôle de moteur de l'économie sénégalaise. Si elle a été, enAfrique de l'Ouest, la première culture  de rente à permettre le passage d'une agriculture manuelle à agriculture attelée, elle n'a pas été la locomotive espérée pour le passage d'une agriculture extensive à une agriculture intensive et durable. Elle estde moins en moins la source principale de revenus monétaires des ruraux. Sa a été une des causes  de disparution des forêts, de l'épuisement et l'erosion des sols. Sa regréssion génére de plus en plus exode rural et la pauvreté. On ne doit pas cependant  oublier qu'en bieb et en mal, le Sénégalest en grande partie le produit de l'arachide. Malheureusement, aucune des alternatives préconisées jusqu'a présent ne s'est révélée suffisammment motivantes pour les paysans.

La filière arachide au Sénégal traverse une des plus grave crises de son histoire. S'il est exagéré de parler  de sa disparution, il  est clair qu'elle joue de moins en moins son rôle de moteur de l'économie sénégalaise. Si elle a été, enAfrique de l'Ouest, la première culture  de rente à permettre le passage d'une agriculture manuelle à agriculture attelée, elle n'a pas été la locomotive espérée pour le passage d'une agriculture extensive à une agriculture intensive et durable. Elle estde moins en moins la source principale de revenus monétaires des ruraux. Sa a été une des causes  de disparution des forêts, de l'épuisement et l'erosion des sols. Sa regréssion génére de plus en plus exode rural et la pauvreté. On ne doit pas cependant  oublier qu'en bieb et en mal, le Sénégalest en grande partie le produit de l'arachide. Malheureusement, aucune des alternatives préconisées jusqu'a présent ne s'est révélée suffisammment motivantes pour les paysans.