Le journaliste apprend que le sandinisme est la quintessence du marxisme, du christianisme et du nationalisme; que les commandants ne cherchent pas à faire du Nicaragua un chalco de l’Union soviétique, des États-Unis, de Cuba ou de la France; que l’ancrage dans la constitution du plurialisme politique n’était pas une décision tique mais stratégique; que l’on n’a jamais voulu mettre en état l’économie du pays; que les secteurs qui ne se sentent pas représentés par le FSLN et qui aspirent à prendre le pouvoir.

Le journaliste apprend que le sandinisme est la quintessence du marxisme, du christianisme et du nationalisme; que les commandants ne cherchent pas à faire du Nicaragua un chalco de l’Union soviétique, des États-Unis, de Cuba ou de la France; que l’ancrage dans la constitution du plurialisme politique n’était pas une décision tique mais stratégique; que l’on n’a jamais voulu mettre en état l’économie du pays; que les secteurs qui ne se sentent pas représentés par le FSLN et qui aspirent à prendre le pouvoir.