Avec la publication de ce livre, Enrique Dussel offre au chercheur un instrument précieux pour la compréhension des problèmes éthiques liés à l’actualité, c’est-à-dire à l’époque de la mondialisation. Jusqu’à présent, aucun projet éthique ne s’est posé le problème d’une définition approfondie d’une nouvelle éthique pour un monde divisé depuis sa propre intégration. Les intellectuels du premier monde ne sont pas allés au-delà de ce que signifie délimiter une éthique de la communication ou du discours, c’est-à-dire un échange d’expériences linguistiques, qui, au fond, laissent de côté, sinon nient, les besoins primaires des hommes. La caractéristique des éthiques contemporaines est de considérer résolus les problèmes humains des hommes tels que la reproduction de la vie et du corps, comme manger, avoir une maison, s’habiller, se reproduire, avoir une instruction et une culture et, en définitive, pouvoir avoir un projet de vie. Cette conviction dénonce la façon dont les éthiques du premier monde ne tiennent pas compte des vrais problèmes de la plupart de l’humanité, qui sont aussi les problèmes de la vie et du corps. Au fond, si l’on considère cette situation de la philosophie contemporaine du point de vue de celui qui est victime du système, on remarque clairement que la philosophie du premier monde cache une réalité inacceptable pour quiconque a des principes moraux humains.

Avec la publication de ce livre, Enrique Dussel offre au chercheur un instrument précieux pour la compréhension des problèmes éthiques liés à l’actualité, c’est-à-dire à l’époque de la mondialisation. Jusqu’à présent, aucun projet éthique ne s’est posé le problème d’une définition approfondie d’une nouvelle éthique pour un monde divisé depuis sa propre intégration. Les intellectuels du premier monde ne sont pas allés au-delà de ce que signifie délimiter une éthique de la communication ou du discours, c’est-à-dire un échange d’expériences linguistiques, qui, au fond, laissent de côté, sinon nient, les besoins primaires des hommes. La caractéristique des éthiques contemporaines est de considérer résolus les problèmes humains des hommes tels que la reproduction de la vie et du corps, comme manger, avoir une maison, s’habiller, se reproduire, avoir une instruction et une culture et, en définitive, pouvoir avoir un projet de vie. Cette conviction dénonce la façon dont les éthiques du premier monde ne tiennent pas compte des vrais problèmes de la plupart de l’humanité, qui sont aussi les problèmes de la vie et du corps. Au fond, si l’on considère cette situation de la philosophie contemporaine du point de vue de celui qui est victime du système, on remarque clairement que la philosophie du premier monde cache une réalité inacceptable pour quiconque a des principes moraux humains.