Le progrès et la dynamique économique ont rendu universels les mécanismes de fonctionnement socio-économique, les problèmes anciens et nouveaux auxquels la société est confrontée et les solutions possibles à tous. Autour de cette réalité, un débat a été entamé sur les conséquences positives et négatives de ce processus globalisateur. Autour de cette réalité, un débat a été entamé sur les conséquences positives et négatives de ce processus globalisateur. Lorsque l’on parle de mondialisation, on omet le plus souvent le fait de fond, la réalité capitaliste qui sous-tend ce processus, lui donnant essence et cohérence.L’auteur aborde la mondialisation à partir du capitalisme global, compris comme un système économique, comme un mode de distribution, de production et de consommation, comme une relation sociale, comme un mécanisme d’organisation des relations entre sociétés et classes sociales depuis deux cents ans, et aussi aujourd’hui.

Le progrès et la dynamique économique ont rendu universels les mécanismes de fonctionnement socio-économique, les problèmes anciens et nouveaux auxquels la société est confrontée et les solutions possibles à tous. Autour de cette réalité, un débat a été entamé sur les conséquences positives et négatives de ce processus globalisateur. Autour de cette réalité, un débat a été entamé sur les conséquences positives et négatives de ce processus globalisateur. Lorsque l’on parle de mondialisation, on omet le plus souvent le fait de fond, la réalité capitaliste qui sous-tend ce processus, lui donnant essence et cohérence.L’auteur aborde la mondialisation à partir du capitalisme global, compris comme un système économique, comme un mode de distribution, de production et de consommation, comme une relation sociale, comme un mécanisme d’organisation des relations entre sociétés et classes sociales depuis deux cents ans, et aussi aujourd’hui.