Lorsqu’en 1993, des organisations d’éleveurs, de pêcheurs, d’agriculteurs, d’agro-forestiers et de femmes transformatrices ont, après une longue réflexion partagée avec tous les acteurs du développement national, décidé de créer le CNCR, le monde rural était marqué par des années profondes sur le devenir des ruraux. La gestion du foncier rural est à cet effet une préoccupation capitale pour le CNCR car la terre constitue un élément fondamental de travail, d’identification pour les exploitations familiales agricoles et de vie pour tous les Hommes qui habitent ensemble. Des us et coutumes de gestion traditionnelle se confrontent à un cadre juridique et institutionnel mal compris parce que parfois inadapté, et qui crée souvent un imbroglio au détriment de nos exploitations agricoles.

Lorsqu’en 1993, des organisations d’éleveurs, de pêcheurs, d’agriculteurs, d’agro-forestiers et de femmes transformatrices ont, après une longue réflexion partagée avec tous les acteurs du développement national, décidé de créer le CNCR, le monde rural était marqué par des années profondes sur le devenir des ruraux. La gestion du foncier rural est à cet effet une préoccupation capitale pour le CNCR car la terre constitue un élément fondamental de travail, d’identification pour les exploitations familiales agricoles et de vie pour tous les Hommes qui habitent ensemble. Des us et coutumes de gestion traditionnelle se confrontent à un cadre juridique et institutionnel mal compris parce que parfois inadapté, et qui crée souvent un imbroglio au détriment de nos exploitations agricoles.