Ce document a été produit à la demande du Gouvernement ougandais, dans le cadre de la Stratégie de mise en œuvre de la restructuration du pouvoir de l’ESMAP dans le pays. En examinant les facteurs clés qui influencent l’évaluation et l’investissement du secteur privé dans les entreprises de distribution d’électricité dans le monde entier et, sur les implications du rôle optimal des institutions multilatérales telles que la Banque, ce rapport fournit les résultats d’une étude que Price Waterhouse Coopers Securities a mise en œuvre sur le sujet, pour aider la Banque à élaborer ses politiques en matière de distribution de pouvoir. Les différences fondamentales entre les entreprises de distribution et de production sont mises en évidence : les sociétés de distribution doivent se préoccuper de la croissance de la demande, des marchés de détail et des préoccupations des clients; tandis que les entreprises de génération, ont tendance à se concentrer davantage sur les questions techniques et de performance (séparation des propriétaires de chaque segment de l’industrie, augmentent généralement l’efficacité et minimisent la puissance indue du marché). Les enquêtes sur l’état global des pays, le cadre réglementaire et juridique, les pratiques commerciales et les performances financières dans le monde montrent que si les lois et les systèmes législatifs sont des facteurs importants (dans leur capacité à rapatrier des fonds - bien qu’ils fassent sans doute partie du climat d’investissement), la performance financière est de loin le facteur le plus important, c’est-à-dire que le rendement des capitaux propres est essentiel, en particulier pour les investisseurs détenus par l’État. , qui doivent évaluer l’impact des investissements sur l’évaluation des actions. Le rôle des institutions multilatérales a été considéré comme important en ce sens qu’il améliore le climat d’investissement par l’assistance technique, en ce sens qu’il favorise les processus de privatisation et de restructuration des pays sages, et, en ce sens qu’il fournit le financement pour les projets du secteur de l’énergie qui nécessitent des subventions.

Ce document a été produit à la demande du Gouvernement ougandais, dans le cadre de la Stratégie de mise en œuvre de la restructuration du pouvoir de l’ESMAP dans le pays. En examinant les facteurs clés qui influencent l’évaluation et l’investissement du secteur privé dans les entreprises de distribution d’électricité dans le monde entier et, sur les implications du rôle optimal des institutions multilatérales telles que la Banque, ce rapport fournit les résultats d’une étude que Price Waterhouse Coopers Securities a mise en œuvre sur le sujet, pour aider la Banque à élaborer ses politiques en matière de distribution de pouvoir. Les différences fondamentales entre les entreprises de distribution et de production sont mises en évidence : les sociétés de distribution doivent se préoccuper de la croissance de la demande, des marchés de détail et des préoccupations des clients; tandis que les entreprises de génération, ont tendance à se concentrer davantage sur les questions techniques et de performance (séparation des propriétaires de chaque segment de l’industrie, augmentent généralement l’efficacité et minimisent la puissance indue du marché). Les enquêtes sur l’état global des pays, le cadre réglementaire et juridique, les pratiques commerciales et les performances financières dans le monde montrent que si les lois et les systèmes législatifs sont des facteurs importants (dans leur capacité à rapatrier des fonds - bien qu’ils fassent sans doute partie du climat d’investissement), la performance financière est de loin le facteur le plus important, c’est-à-dire que le rendement des capitaux propres est essentiel, en particulier pour les investisseurs détenus par l’État. , qui doivent évaluer l’impact des investissements sur l’évaluation des actions. Le rôle des institutions multilatérales a été considéré comme important en ce sens qu’il améliore le climat d’investissement par l’assistance technique, en ce sens qu’il favorise les processus de privatisation et de restructuration des pays sages, et, en ce sens qu’il fournit le financement pour les projets du secteur de l’énergie qui nécessitent des subventions.