Le Maroc dépend fortement de l’énergie importée pour répondre à sa demande d’énergie. Au cours de la dernière décennie, le gouvernement a cherché à améliorer la dépendance pétrolière du Maroc en se convertissant à d’autres carburants et en développant les ressources indigènes. Au cours de la décennie en cours, le gouvernement a mis en place une politique énergétique mettant l’accent sur l’optimisation des conditions d’approvisionnement énergétique et l’étude de stratégies d’approvisionnement alternatives; l’amélioration de la gestion du côté de la demande; promotion de la participation du secteur privé; protection de l’environnement. L’ESMAP recommande que ces efforts soient soutenus par des projets de développement du gaz naturel, de tarification du gaz et de restructuration institutionnelle du secteur de l’énergie. Le processus de libéralisation de l’économie décidé par le gouvernement et soutenu par la Banque est actuellement en cours de mise en œuvre. La loi sur la libéralisation du commerce extérieur est en cours d’application et le gouvernement a appelé à l’amélioration de l’environnement des investissements privés et étrangers et à une accélération du processus de privatisation. La réponse du secteur de l’énergie à l’évolution de l’environnement économique et institutionnel exige une combinaison d’initiatives à court et à long terme. À court terme, le secteur doit s’attaquer aux problèmes des pénuries et des inefficacités dans le sous-secteur de l’énergie ainsi qu’au régime de tarification et d’imposition dans le sous-secteur des produits pétroliers. À long terme, le secteur devrait se concentrer sur le développement de l’option la plus efficace et la moins coûteuse pour répondre aux besoins énergétiques du pays. 

Le Maroc dépend fortement de l’énergie importée pour répondre à sa demande d’énergie. Au cours de la dernière décennie, le gouvernement a cherché à améliorer la dépendance pétrolière du Maroc en se convertissant à d’autres carburants et en développant les ressources indigènes. Au cours de la décennie en cours, le gouvernement a mis en place une politique énergétique mettant l’accent sur l’optimisation des conditions d’approvisionnement énergétique et l’étude de stratégies d’approvisionnement alternatives; l’amélioration de la gestion du côté de la demande; promotion de la participation du secteur privé; protection de l’environnement. L’ESMAP recommande que ces efforts soient soutenus par des projets de développement du gaz naturel, de tarification du gaz et de restructuration institutionnelle du secteur de l’énergie. Le processus de libéralisation de l’économie décidé par le gouvernement et soutenu par la Banque est actuellement en cours de mise en œuvre. La loi sur la libéralisation du commerce extérieur est en cours d’application et le gouvernement a appelé à l’amélioration de l’environnement des investissements privés et étrangers et à une accélération du processus de privatisation. La réponse du secteur de l’énergie à l’évolution de l’environnement économique et institutionnel exige une combinaison d’initiatives à court et à long terme. À court terme, le secteur doit s’attaquer aux problèmes des pénuries et des inefficacités dans le sous-secteur de l’énergie ainsi qu’au régime de tarification et d’imposition dans le sous-secteur des produits pétroliers. À long terme, le secteur devrait se concentrer sur le développement de l’option la plus efficace et la moins coûteuse pour répondre aux besoins énergétiques du pays.