Ce numéro du Dialogue sur le développement a un contenu mitigé. Il présente d’abord la conférence Dag Hammarskjöld de Sir Brian Urquhart intitulée « Souveraineté et mondialisation : où les Nations Unies s’intègrent-elles ? » Elle est suivie d’une section principale sur les zones exemptes d’armes nucléaires. Trois autres articles abordent des thèmes que les lecteurs de Development Dialogue connaissent bien : l’édition et l’écriture créative en Afrique; la pression exercée par les sociétés pharmaceutiques en faveur de pratiques commerciales malsaines; et le rôle de la société civile dans le changement de l’espace politique pour le développement. Le sujet de la Conférence de Brian Urquhart est celui qui fait l’objet de nombreuses discussions lors de réunions et de séminaires internationaux ainsi que dans des livres et des revues. Il fait valoir que la mondialisation n’est pas une panacée pour le développement mondial et qu’elle peut en fait être plus limitée qu’on ne l’a d’abord reconnu. Il souligne un certain nombre de domaines où il a soulevé plus de questions qu’il n’a fourni de réponses. Il soutient également que l’ONU ne devrait pas être considérée comme adoptée lorsque ces questions seront débattues, mais que l’organisation peut et doit jouer un rôle beaucoup plus important qu’elle ne le fait actuellement. 

Ce numéro du Dialogue sur le développement a un contenu mitigé. Il présente d’abord la conférence Dag Hammarskjöld de Sir Brian Urquhart intitulée « Souveraineté et mondialisation : où les Nations Unies s’intègrent-elles ? » Elle est suivie d’une section principale sur les zones exemptes d’armes nucléaires. Trois autres articles abordent des thèmes que les lecteurs de Development Dialogue connaissent bien : l’édition et l’écriture créative en Afrique; la pression exercée par les sociétés pharmaceutiques en faveur de pratiques commerciales malsaines; et le rôle de la société civile dans le changement de l’espace politique pour le développement. Le sujet de la Conférence de Brian Urquhart est celui qui fait l’objet de nombreuses discussions lors de réunions et de séminaires internationaux ainsi que dans des livres et des revues. Il fait valoir que la mondialisation n’est pas une panacée pour le développement mondial et qu’elle peut en fait être plus limitée qu’on ne l’a d’abord reconnu. Il souligne un certain nombre de domaines où il a soulevé plus de questions qu’il n’a fourni de réponses. Il soutient également que l’ONU ne devrait pas être considérée comme adoptée lorsque ces questions seront débattues, mais que l’organisation peut et doit jouer un rôle beaucoup plus important qu’elle ne le fait actuellement.