Titre : | La lumière des justes: les dames de Sibérie | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | TROYAT,Henri, Auteur | Editeur : | [Paris]Flammarion | Année de publication : | 1962 | Importance : | 315p. | Note générale : | Don de Bernard Founou Tchuigoua | Langues : | Français | Catégories : | LITTERATURE PRISON PRISONNIERS ROMANS RUSSIE SIBERIE
| Index. décimale : | 101 SCIENCE ET RECHERCHE | Résumé : | A six mille verstes de Saint-Petersbourg, au fond de la sibérie, derrière les murs du bagne de Tchita, Nicolas Ozareff a rejoint les jeunes nobles libéraux, les intellectuels révoltés, les officiers généreux, qui, comme lui, ont été condamnés pour le coup d'État manqué du 14 décembre 1825. Les épouses de certains prisonniers ayant obtenu l'autorisation de suivre leurs maris en exil, le village perdu où se trouve la maison de force voit débarquer, l'une après l'autre, les dames de la capitale, jeunes et belles, vêtues à l'européenne, portant des noms prestigieux et tout enfiévrées par l'esprit de sacrifice. Elles seront bientôt une dizaine à avoir tout abandonné pour obéir à leur vocation conjugale. Leur vie se règle sur celle des forçats. Elles logent dans de pauvres isbas, non loin de la prison, reçoivent, deux fois par semaine, la visite de leurs époux enchaînés et, le reste du temps, rôdent le long de la palissade et assiègent le commandant du bagne, le très vieux et très bienveillant général Léparsky, afin de lui arracher de nouvelles faveurs. | En ligne : | https://www.abebooks.fr/LUMIERE-JUSTES-DAMES-SIBERIE-TROYAT-Henri/22535135873/bd | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26793 |
La lumière des justes: les dames de Sibérie [texte imprimé] / TROYAT,Henri, Auteur . - [S.l.] : [Paris]Flammarion, 1962 . - 315p. Don de Bernard Founou Tchuigoua Langues : Français Catégories : | LITTERATURE PRISON PRISONNIERS ROMANS RUSSIE SIBERIE
| Index. décimale : | 101 SCIENCE ET RECHERCHE | Résumé : | A six mille verstes de Saint-Petersbourg, au fond de la sibérie, derrière les murs du bagne de Tchita, Nicolas Ozareff a rejoint les jeunes nobles libéraux, les intellectuels révoltés, les officiers généreux, qui, comme lui, ont été condamnés pour le coup d'État manqué du 14 décembre 1825. Les épouses de certains prisonniers ayant obtenu l'autorisation de suivre leurs maris en exil, le village perdu où se trouve la maison de force voit débarquer, l'une après l'autre, les dames de la capitale, jeunes et belles, vêtues à l'européenne, portant des noms prestigieux et tout enfiévrées par l'esprit de sacrifice. Elles seront bientôt une dizaine à avoir tout abandonné pour obéir à leur vocation conjugale. Leur vie se règle sur celle des forçats. Elles logent dans de pauvres isbas, non loin de la prison, reçoivent, deux fois par semaine, la visite de leurs époux enchaînés et, le reste du temps, rôdent le long de la palissade et assiègent le commandant du bagne, le très vieux et très bienveillant général Léparsky, afin de lui arracher de nouvelles faveurs. | En ligne : | https://www.abebooks.fr/LUMIERE-JUSTES-DAMES-SIBERIE-TROYAT-Henri/22535135873/bd | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26793 |
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