L’idée d’organiser un atelier de réflexion intellectuelle par des chercheurs a été créé par Peter Anyang' Nyong’o à Nairobi en 1999 en consultation avec Archie Mafeje. Anyang' Nyong’o croyait que ce serait un grande perte si la haute génération d’érudits africains devaient quitter, sans laissant derrière eux un témoignage écrit sur leur héritage intellectuel et ce qu’ils individuellement considèrent comme leur contribution dans leurs disciplines respectives. L’idée elle-même était excellente, mais la mécanique de sa mise en œuvre n’étaient pas si faciles. Premièrement, la catégorie des « chercheurs africains de haut niveau » s’est avérée d’être évident que certains chercheurs sont tombés entre les générations. Deuxièmement, qui était de décider lesquels méritaient l’honneur. Jalousies professionnelles et la déférence ou l’élitisme académique devaient jouer un rôle dans le processus de sélection. Troisièmement, bien qu’en réalité il n’était pas trop difficile de penser à chercheurs africains, dans la pratique, si tous étaient invités, ils seraient probablement trop nombreuses et réparties dans trop de disciplines pour garantir la cohérence Délibérations. Finalement, il est devenu opportun de limiter l’atelier envisagé d’abord aux sciences sociales et à pas plus de douze participants identifiés.

L’idée d’organiser un atelier de réflexion intellectuelle par des chercheurs a été créé par Peter Anyang' Nyong’o à Nairobi en 1999 en consultation avec Archie Mafeje. Anyang' Nyong’o croyait que ce serait un grande perte si la haute génération d’érudits africains devaient quitter, sans laissant derrière eux un témoignage écrit sur leur héritage intellectuel et ce qu’ils individuellement considèrent comme leur contribution dans leurs disciplines respectives. L’idée elle-même était excellente, mais la mécanique de sa mise en œuvre n’étaient pas si faciles. Premièrement, la catégorie des « chercheurs africains de haut niveau » s’est avérée d’être évident que certains chercheurs sont tombés entre les générations. Deuxièmement, qui était de décider lesquels méritaient l’honneur. Jalousies professionnelles et la déférence ou l’élitisme académique devaient jouer un rôle dans le processus de sélection. Troisièmement, bien qu’en réalité il n’était pas trop difficile de penser à chercheurs africains, dans la pratique, si tous étaient invités, ils seraient probablement trop nombreuses et réparties dans trop de disciplines pour garantir la cohérence Délibérations. Finalement, il est devenu opportun de limiter l’atelier envisagé d’abord aux sciences sociales et à pas plus de douze participants identifiés.