La situation énergétique en zone urbaine est beaucoup plus contrastée. Il n’existe pas un modèle de consommation homogène. Les écarts considérables de revenus, l’émergence de nouvelles pratiques dues à la vie citadine, l’utilisation du charbon de bois et la progression des nouvelles sources d’énergie conventionnelles (gaz, électricité), constituent autant de critères de différenciation dans la structure de consommation des différentes couches de la population. Cependant, le phénomène remarquable particulier au monde rural est l’utilisation marginale du bois de feu. En outre la consommation est très concentrée. En effet, Dakar avec 25% de la population du Sénégal, brûle 80% du charbon de bois produit sur tout le territoire et  rassemble plus de 90% des abonnés de la SENELEC.

La situation énergétique en zone urbaine est beaucoup plus contrastée. Il n’existe pas un modèle de consommation homogène. Les écarts considérables de revenus, l’émergence de nouvelles pratiques dues à la vie citadine, l’utilisation du charbon de bois et la progression des nouvelles sources d’énergie conventionnelles (gaz, électricité), constituent autant de critères de différenciation dans la structure de consommation des différentes couches de la population. Cependant, le phénomène remarquable particulier au monde rural est l’utilisation marginale du bois de feu. En outre la consommation est très concentrée. En effet, Dakar avec 25% de la population du Sénégal, brûle 80% du charbon de bois produit sur tout le territoire et  rassemble plus de 90% des abonnés de la SENELEC.