En Afrique, l'urbanisation a connu une croissance spectaculaire durant les dernières décennies. Favorisée par un important taux de croissance naturelle et un exode rural massif, cette hyper urbanisation s'est accompagnée d'un cortège de dysfonctionnements, dans le domaine de l'assainissement notamment, où il est aisé de constater l'image désolante qu'aborent les villes africaines. Pourtant la problématique que l'assainissement urbain est assez bien posée. elle émane vraisemblablement d'un concours de facteur politique, économique, technique, socioculturel,etc. En effet, la plupart des établissements humains dans les pays en développement sont nés spontanément et se sont développes de façon anarchique. Les autorités administratives ont pendant longtemps toléré cette situation, intervenant peu pour corriger et la régulariser. Cette attitude démissionaire se comprend dans la mesure où les pouvoirs publics ont été confrontés à une forte et urgente demande de logis, ceci dans un contexte de forte pression démographique. Par ailleurs, vu la modicité des moyens, la mise en oeuvre de politiques d'habitat audacieuses est restée un voeux pieux. Ainsi, les ETATS n'ont pas su satisfaire correctement les besoins du présent ( notamment en équipements de base), tout en ayant une vision à long terme des problématiques ( parallélement à l'évolution démographique et économique).  

En Afrique, l'urbanisation a connu une croissance spectaculaire durant les dernières décennies. Favorisée par un important taux de croissance naturelle et un exode rural massif, cette hyper urbanisation s'est accompagnée d'un cortège de dysfonctionnements, dans le domaine de l'assainissement notamment, où il est aisé de constater l'image désolante qu'aborent les villes africaines. Pourtant la problématique que l'assainissement urbain est assez bien posée. elle émane vraisemblablement d'un concours de facteur politique, économique, technique, socioculturel,etc. En effet, la plupart des établissements humains dans les pays en développement sont nés spontanément et se sont développes de façon anarchique. Les autorités administratives ont pendant longtemps toléré cette situation, intervenant peu pour corriger et la régulariser. Cette attitude démissionaire se comprend dans la mesure où les pouvoirs publics ont été confrontés à une forte et urgente demande de logis, ceci dans un contexte de forte pression démographique. Par ailleurs, vu la modicité des moyens, la mise en oeuvre de politiques d'habitat audacieuses est restée un voeux pieux. Ainsi, les ETATS n'ont pas su satisfaire correctement les besoins du présent ( notamment en équipements de base), tout en ayant une vision à long terme des problématiques ( parallélement à l'évolution démographique et économique).