Décrit pour la première fois en 1981, le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA) est le stade avancé de l’infection causée par le Virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH). Selon le rapport ONU-SIDA/OMS de décembre 2014, 35 millions de personnes vivant avec le VIH (PV-VIH) ont été dénombrées à travers le monde ; 1,5 millions d’elles en sont mortes au cours de l’année. L’Afrique subsaharienne à elle seule compte 24,7 millions de PV-VIH avec 1,1 millions de décès. Au Mali, la prévalence globale de cette infection est estimée à 1,1% selon l’EDSM V de 2012. Le suivi virologique du traitement antirétroviral (TAR) repose en routine sur le dosage de la charge viral (CV). Cet excellent paramètre, qui mesure le degré de réduction de la réplication du VIH, est disponible depuis 1996. Mais, ce n’est que 10 ans plus tard (en 2006) que la politique de prise en charge des PV-VIH au Mali l’a rendu gratuit dans le protocole de suivi de l’efficacité du TAR. Cependant, le dosage de la CV n’est effectif en routine d l’Hôpital de Sikasso (HDS) qu’en 2010.

Décrit pour la première fois en 1981, le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA) est le stade avancé de l’infection causée par le Virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH). Selon le rapport ONU-SIDA/OMS de décembre 2014, 35 millions de personnes vivant avec le VIH (PV-VIH) ont été dénombrées à travers le monde ; 1,5 millions d’elles en sont mortes au cours de l’année. L’Afrique subsaharienne à elle seule compte 24,7 millions de PV-VIH avec 1,1 millions de décès. Au Mali, la prévalence globale de cette infection est estimée à 1,1% selon l’EDSM V de 2012. Le suivi virologique du traitement antirétroviral (TAR) repose en routine sur le dosage de la charge viral (CV). Cet excellent paramètre, qui mesure le degré de réduction de la réplication du VIH, est disponible depuis 1996. Mais, ce n’est que 10 ans plus tard (en 2006) que la politique de prise en charge des PV-VIH au Mali l’a rendu gratuit dans le protocole de suivi de l’efficacité du TAR. Cependant, le dosage de la CV n’est effectif en routine d l’Hôpital de Sikasso (HDS) qu’en 2010.