Résumé : | Il est nécessaire de distinguer le marché classique preneur de l’électricité, et le marché industriel de substitution au fioul et au gazole. Ce dernier marché ne s’ouvre que si le prix de la thermie électrique est compétitif. L’électricité du RUZIZI II est tout juste compétitive pour les usages thermiques ; là où elle ne sera pas absorbée par le marché classique, elle pourra être entièrement écoulée auprès des industriels, à condition que le « programme chaudières » soit bien monté : rationalisation des besoins énergétiques dans les usines pour écrêter les pointes ; montages financiers appropriés ; négociations tarifaires basées sur des études fines. |