Le Sénégal, à l’instar des autres pays sud-sahéliens, entre dans une problématique commune de l’énergie par rapport à l’environnement et au développement. Il se caractérise, sur le plan énergétique, par une consommation de combustibles ligneux supérieurs à 70% de la consommation finale de l’énergie et une dépendance totale de l’extérieur pour son approvisionnement en hydrocarbures. Les conséquences en sont simples et connues, une pression constante et continue sur l’environnement entraînant des phénomènes de déforestation et désertification d’un côté, et de l’autre, les déséquilibres de paiements extérieurs, frein majeur au développement. Les politiques énergétiques dans l’ensemble de ces pays ont comme trait majeurs la lutte contre Le Sénégal, à l’instar des autres pays sud-sahéliens, entre dans une problématique commune de l’énergie par rapport à l’environnement et au développement. Il se caractérise, sur le plan énergétique, par une consommation de combustibles ligneux supérieurs à 70% de la consommation finale de l’énergie et une dépendance totale de l’extérieur pour son approvisionnement en hydrocarbures. Les conséquences en sont simples et connues, une pression constante et continue sur l’environnement entraînant des phénomènes de déforestation et désertification d’un côté, et de l’autre, les déséquilibres de paiements extérieurs, frein majeur au développement. Les politiques énergétiques dans l’ensemble de ces pays ont comme trait majeurs la lutte contre la déforestation (principalement dans les pays de la zone soudano-sahélienne) et le desserrement de la contrainte extérieure.

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