L'auteure montre que l'étude des rapports des sexes et le pouvoir de la femme sont au coeur de l'évaluation des efforts de développement en Afrique. Elle explore l'interaction du transfert technologique et des facteurs liés au sexe à l'aide d'études de cas et d'exemples tirés de la littérature du développement en agriculture, santé et nutrition et de l'ensemble des connaissances sur le féminisme en Afrique. De fausses approches du sujet et les préjugés dont sont empreintes les politiques à tous les niveaux ont entraîné la réalisation de projets inefficaces, voire nocifs. Les idées sur la signification des facteurs liés au sexe ne franchissent pas facilement les frontières entre les disciplines. Dans la partie I, l'auteure présente les différentes perspectives dans lesquelles le sujet a été étudié. Elle fait la critique des perspectives études africaines, études des femmes et études sur le développement et indique des perspectives utiles. L'auteure s'étend longuement sur le fait que le rôle des sexes soit passé sous silence dans les études sur le développement et dans l'aide au développement. Dans la partie II, elle se penche sur les résultats de la recherche sur la femme africaine pour déterminer les facteurs qui la rendent impuissante et la défavorisent ou créent les conditions favorables à sa participation autoritaire au développement. Dans la partie III, l'auteure s'arrête sur les questions et les interrelations qui n'ont pas encore été étudiées et suggère des perspectives intéressantes dans lesquelles placer les futures études sur la femme et la technologie en Afrique. L'auteure estime que l'acquisition d'un pouvoir social, économique et technique par la femme au niveau communautaire est essentielle à l'efficacité des efforts de développement.'auteure montre que l'étude des rapports des sexes et le pouvoir de la femme sont au coeur de l'évaluation des efforts de développement en Afrique. Elle explore l'interaction du transfert technologique et des facteurs liés au sexe à l'aide d'études de cas et d'exemples tirés de la littérature du développement en agriculture, santé et nutrition et de l'ensemble des connaissances sur le féminisme en Afrique. De fausses approches du sujet et les préjugés dont sont empreintes les politiques à tous les niveaux ont entraîné la réalisation de projets inefficaces, voire nocifs. Les idées sur la signification des facteurs liés au sexe ne franchissent pas facilement les frontières entre les disciplines. Dans la partie I, l'auteure présente les différentes perspectives dans lesquelles le sujet a été étudié. Elle fait la critique des perspectives études africaines, études des femmes et études sur le développement et indique des perspectives utiles. L'auteure s'étend longuement sur le fait que le rôle des sexes soit passé sous silence dans les études sur le développement et dans l'aide au développement. Dans la partie II, elle se penche sur les résultats de la recherche sur la femme africaine pour déterminer les facteurs qui la rendent impuissante et la défavorisent ou créent les conditions favorables à sa participation autoritaire au développement. Dans la partie III, l'auteure s'arrête sur les questions et les interrelations qui n'ont pas encore été étudiées et suggère des perspectives intéressantes dans lesquelles placer les futures études sur la femme et la technologie en Afrique. L'auteure estime que l'acquisition d'un pouvoir social, économique et technique par la femme au niveau communautaire est essentielle à l'efficacité des efforts de développement.

L'auteure montre que l'étude des rapports des sexes et le pouvoir de la femme sont au coeur de l'évaluation des efforts de développement en Afrique. Elle explore l'interaction du transfert technologique et des facteurs liés au sexe à l'aide d'études de cas et d'exemples tirés de la littérature du développement en agriculture, santé et nutrition et de l'ensemble des connaissances sur le féminisme en Afrique. De fausses approches du sujet et les préjugés dont sont empreintes les politiques à tous les niveaux ont entraîné la réalisation de projets inefficaces, voire nocifs. Les idées sur la signification des facteurs liés au sexe ne franchissent pas facilement les frontières entre les disciplines. Dans la partie I, l'auteure présente les différentes perspectives dans lesquelles le sujet a été étudié. Elle fait la critique des perspectives études africaines, études des femmes et études sur le développement et indique des perspectives utiles. L'auteure s'étend longuement sur le fait que le rôle des sexes soit passé sous silence dans les études sur le développement et dans l'aide au développement. Dans la partie II, elle se penche sur les résultats de la recherche sur la femme africaine pour déterminer les facteurs qui la rendent impuissante et la défavorisent ou créent les conditions favorables à sa participation autoritaire au développement. Dans la partie III, l'auteure s'arrête sur les questions et les interrelations qui n'ont pas encore été étudiées et suggère des perspectives intéressantes dans lesquelles placer les futures études sur la femme et la technologie en Afrique. L'auteure estime que l'acquisition d'un pouvoir social, économique et technique par la femme au niveau communautaire est essentielle à l'efficacité des efforts de développement.'auteure montre que l'étude des rapports des sexes et le pouvoir de la femme sont au coeur de l'évaluation des efforts de développement en Afrique. Elle explore l'interaction du transfert technologique et des facteurs liés au sexe à l'aide d'études de cas et d'exemples tirés de la littérature du développement en agriculture, santé et nutrition et de l'ensemble des connaissances sur le féminisme en Afrique. De fausses approches du sujet et les préjugés dont sont empreintes les politiques à tous les niveaux ont entraîné la réalisation de projets inefficaces, voire nocifs. Les idées sur la signification des facteurs liés au sexe ne franchissent pas facilement les frontières entre les disciplines. Dans la partie I, l'auteure présente les différentes perspectives dans lesquelles le sujet a été étudié. Elle fait la critique des perspectives études africaines, études des femmes et études sur le développement et indique des perspectives utiles. L'auteure s'étend longuement sur le fait que le rôle des sexes soit passé sous silence dans les études sur le développement et dans l'aide au développement. Dans la partie II, elle se penche sur les résultats de la recherche sur la femme africaine pour déterminer les facteurs qui la rendent impuissante et la défavorisent ou créent les conditions favorables à sa participation autoritaire au développement. Dans la partie III, l'auteure s'arrête sur les questions et les interrelations qui n'ont pas encore été étudiées et suggère des perspectives intéressantes dans lesquelles placer les futures études sur la femme et la technologie en Afrique. L'auteure estime que l'acquisition d'un pouvoir social, économique et technique par la femme au niveau communautaire est essentielle à l'efficacité des efforts de développement.