Dès 1913, les membres de la première conférence internationale sur la protection de la nature, réunis à  Berne, souhaitaient préserver de façon durable les sites les plus Remarquables du monde. Une vingtaine d'années plus tard, la conférence d'Athéne, organisée en 1931 sous l'égide de la société des Nation,forlulait  une recommendation analogue concernant le patrimoine culturel, en envisageant prioritairement la sauvegarde des grands monuments, en vue de leur transmissionaux générationfutures. Depuis les conférences de Berbe et d'Athéne, le concepte d'un patrimoine unifié, où les formes  de la nature et les oeuvres de l'homme seraient trait"es à égalité dans le respect de leur complémentarité a fait des progrés décisifs.C'était, en 1972, une des propositions novatrices de la convation du patrimoine mondil ; c'est aujourd'hui presque une réalité. Les études qui vont suivre nous permettent de mesurer le chemin parcouru.

Dès 1913, les membres de la première conférence internationale sur la protection de la nature, réunis à  Berne, souhaitaient préserver de façon durable les sites les plus Remarquables du monde. Une vingtaine d'années plus tard, la conférence d'Athéne, organisée en 1931 sous l'égide de la société des Nation,forlulait  une recommendation analogue concernant le patrimoine culturel, en envisageant prioritairement la sauvegarde des grands monuments, en vue de leur transmissionaux générationfutures. Depuis les conférences de Berbe et d'Athéne, le concepte d'un patrimoine unifié, où les formes  de la nature et les oeuvres de l'homme seraient trait"es à égalité dans le respect de leur complémentarité a fait des progrés décisifs.C'était, en 1972, une des propositions novatrices de la convation du patrimoine mondil ; c'est aujourd'hui presque une réalité. Les études qui vont suivre nous permettent de mesurer le chemin parcouru.