Titre : | L'homme et l'eau dans le bassin du lac Tchad | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Hermann JUNGRAITHMAYR ; Daniel BARRETEAU ; Uwe SEIBERT | Congrès : | Séminaire du réseau Méga-Tchad (13-14 Mai 1993; J. W. GOETHE-UNIVERSITÄT, FRANKFURT, ALLEMAGNE) | Editeur : | ORSTOM Editions | Année de publication : | 1997 | Collection : | Colloques et Séminaires | Importance : | 487p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7099-1373-7 | Note générale : | Traduit de l'anglais sous le titre de : MAN AND WATER IN THE LAKE CHAD BASIN | Langues : | Français Anglais Allemand | Mots-clés : | MARES HYDROLOGIE PUITS BASSINS EROSION HYDRIQUE MAREE FLEUVE POLLUTION EAU POTABLE RESSOURCES EN EAU HYDRAULIQUE VILLAGEOISE SECHERESSE LACS PLUVIOMETRIE AMENAGEMENT HYDROLIQUE TCHAD NIGER NIGERIA CAMEROUNE AFRIQUE | Résumé : | Le bassin du lac Tchad, cuvette de 1.5 million de km2, présente un milieu physique très diversifié. La pluviométrie y varie de quasiment 0 mm au nord dans le Sahara à plus de 1.000 mm au sud dans les confins de la cuvette congolaise. Les roches les plus anciennes (Antécambrien et Primaire) affleurent à la périphérie, tandis que la plus grande partie de la cuvette est recouverte de formations sédimentaires fluvio-lacustres du Quaternaire. Parmi les tributaires du lac Tchad, c'est de loin le Chari, augmenté des eaux du Logone, qui contribue le plus à son alimentation (95 pour cent des apports fluviaux). La superficie du lac, peu profond, varie considérablement en fonction de la pluviométrie annuelle. Dans les régions les plus arides, ce sont essentiellement les nappes fossiles qui constituent la ressource en eau. Comme l'ont montré des études géologiques, palynologiques, ainsi que les témoignages historiques, la dernière sécheresse de ces vingt dernières années, particulièrement sévère et longue, a été précédée par toute une série de périodes analogues au cours du dernier millénaire. Les problèmes de mise en valeur ne résultent pas uniquement du manque d'eau (risque de salinisation), mais aussi de sa qualité, voire, comme dans le sud de sa surabondance (terres inondées), Le développement durable nécessite une approche interdisciplinaire qui associe les aspects physiques, biologiques et sociaux | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18336 |
L'homme et l'eau dans le bassin du lac Tchad [texte imprimé] / Hermann JUNGRAITHMAYR ; Daniel BARRETEAU ; Uwe SEIBERT / Séminaire du réseau Méga-Tchad (13-14 Mai 1993; J. W. GOETHE-UNIVERSITÄT, FRANKFURT, ALLEMAGNE) . - [S.l.] : ORSTOM Editions, 1997 . - 487p.. - ( Colloques et Séminaires) . ISBN : 978-2-7099-1373-7 Traduit de l'anglais sous le titre de : MAN AND WATER IN THE LAKE CHAD BASIN Langues : Français Anglais Allemand Mots-clés : | MARES HYDROLOGIE PUITS BASSINS EROSION HYDRIQUE MAREE FLEUVE POLLUTION EAU POTABLE RESSOURCES EN EAU HYDRAULIQUE VILLAGEOISE SECHERESSE LACS PLUVIOMETRIE AMENAGEMENT HYDROLIQUE TCHAD NIGER NIGERIA CAMEROUNE AFRIQUE | Résumé : | Le bassin du lac Tchad, cuvette de 1.5 million de km2, présente un milieu physique très diversifié. La pluviométrie y varie de quasiment 0 mm au nord dans le Sahara à plus de 1.000 mm au sud dans les confins de la cuvette congolaise. Les roches les plus anciennes (Antécambrien et Primaire) affleurent à la périphérie, tandis que la plus grande partie de la cuvette est recouverte de formations sédimentaires fluvio-lacustres du Quaternaire. Parmi les tributaires du lac Tchad, c'est de loin le Chari, augmenté des eaux du Logone, qui contribue le plus à son alimentation (95 pour cent des apports fluviaux). La superficie du lac, peu profond, varie considérablement en fonction de la pluviométrie annuelle. Dans les régions les plus arides, ce sont essentiellement les nappes fossiles qui constituent la ressource en eau. Comme l'ont montré des études géologiques, palynologiques, ainsi que les témoignages historiques, la dernière sécheresse de ces vingt dernières années, particulièrement sévère et longue, a été précédée par toute une série de périodes analogues au cours du dernier millénaire. Les problèmes de mise en valeur ne résultent pas uniquement du manque d'eau (risque de salinisation), mais aussi de sa qualité, voire, comme dans le sud de sa surabondance (terres inondées), Le développement durable nécessite une approche interdisciplinaire qui associe les aspects physiques, biologiques et sociaux | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18336 |
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