Titre :	Conflits de l'eau dans la vallée du fleuve Sénégal : Implications d'un scénario "Zéro inondation"
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Muneera SALEM-MURDOCK ; Madiodio NIASSE
Editeur :	IIED
Année de publication :	1996/Octobre
Collection :	Programme Zones Arides, 61
Importance :	31 p.
Note générale :	Sommaire, Références
Langues :	Français
Mots-clés :	FLEUVE  CRUE  INONDATION  CULTURE IRRIGUEE  VALLEE  BARRAGE  PRODUCTION D'ELECTRICITE  PRODUCTION AGRICOLE  CONFLITS  AMANAGEMENT HYDRAULIQUE  PODOR  MATAM  SAINT-LOUIS  SENEGAL  AFRIQUE DE L'OUEST
Résumé :	C'est aux années quarante que remontent les premières grandes tentatives de contrôler le débit du fleuve Sénégal, avec l'inauguration en 1945 du schéma d'irrigation de Richard Toll destiné la riziculture du delta. Ce plan envisageait le développement de 50 000 hectares sur dix ans, mais en 1957, 6000 hectares seulement avaient été mis en exploitation (Patterson 1984, p.44). Deux organisations paraétatiques, l'Organisation autonome du delta (OAD, remplacée en 1965 par la Société d'aménagement et d'exploitation des terres du delta (SAED) et l'Organisation autonome de la vallée (OAV) ont été créées, respectivement, en 1960 et en 1961 pour rendre en charge le développement de l'irrigation dans la zone du delta et dans l'ensemble de la vallée. Par la suite c'est la SAED qui a pris la responsabilité de la vallée toute entière. Avec la grave sécheresse sahélienne de la fin des années 60 et du début des années 70, les donateurs furent poussés à inclure des cultures vivrières dans le programme d'irrigation qu'ils soutenaient et à explorer la viabilité des périmètres irrigués au niveau du village (PIV). Inexistants en 1973, les PIV des deux rives du fleuve Sénégal ont vu leur nombre passer à 750 en 1985 (Boutillier et Schmitz 1987, p.534)
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17947

Conflits de l'eau dans la vallée du fleuve Sénégal : Implications d'un scénario "Zéro inondation" [texte imprimé] / Muneera SALEM-MURDOCK ; Madiodio NIASSE . - [S.l.] : IIED, 1996/Octobre . - 31 p.. - (Programme Zones Arides, 61) .
Sommaire, Références
Langues : Français

Mots-clés :	FLEUVE  CRUE  INONDATION  CULTURE IRRIGUEE  VALLEE  BARRAGE  PRODUCTION D'ELECTRICITE  PRODUCTION AGRICOLE  CONFLITS  AMANAGEMENT HYDRAULIQUE  PODOR  MATAM  SAINT-LOUIS  SENEGAL  AFRIQUE DE L'OUEST
Résumé :	C'est aux années quarante que remontent les premières grandes tentatives de contrôler le débit du fleuve Sénégal, avec l'inauguration en 1945 du schéma d'irrigation de Richard Toll destiné la riziculture du delta. Ce plan envisageait le développement de 50 000 hectares sur dix ans, mais en 1957, 6000 hectares seulement avaient été mis en exploitation (Patterson 1984, p.44). Deux organisations paraétatiques, l'Organisation autonome du delta (OAD, remplacée en 1965 par la Société d'aménagement et d'exploitation des terres du delta (SAED) et l'Organisation autonome de la vallée (OAV) ont été créées, respectivement, en 1960 et en 1961 pour rendre en charge le développement de l'irrigation dans la zone du delta et dans l'ensemble de la vallée. Par la suite c'est la SAED qui a pris la responsabilité de la vallée toute entière. Avec la grave sécheresse sahélienne de la fin des années 60 et du début des années 70, les donateurs furent poussés à inclure des cultures vivrières dans le programme d'irrigation qu'ils soutenaient et à explorer la viabilité des périmètres irrigués au niveau du village (PIV). Inexistants en 1973, les PIV des deux rives du fleuve Sénégal ont vu leur nombre passer à 750 en 1985 (Boutillier et Schmitz 1987, p.534)
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