Titre : | La Chine et l'Afrique les faits et les chiffres : évaluation des relations commerciales, de l'investissement et de l'aide publique au développement | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Cheikh Tidiane Dr DIEYE ; Soutien financier d'OXFAM NOVIB | Editeur : | Enda tiers monde | Année de publication : | 2012/Septembre | Importance : | 98 p | Langues : | Français | Mots-clés : | COMMERCE BILATERAL INVESTISSEMENT AIDE PUBLIQUE AU DEVELOPPEMENT EXPORTATIONS IMPORTATIONS BALANCE COMMERCIALE PARTENAIRES COMMERCIAUX INFRASTRUCTURES FINANCEMENT ANNULATION DES DETTES PRETS A TAUX PREFERENTIELS ETUDE DE CAS AFRIQUE AFRIQUE DE L'OUEST AFRIQUE AUSTRALE CHINE | Résumé : | Les ambitions de la Chine sur le continent africain ne font plus l'objet d'aucun doute. En 2006, lors du troisième sommet Chine-Afrique de Beijing, la Chine avait publié un livre blanc dans lequel elle dévoilait son plan d'action pour l'Afrique. On y découvre une vision et une stratégie claires, des actions planifiées et des moyens colossaux au service de sa politique. A terme, le projet chinois ambitionne, lorsque les conditions seront appropriées, la création d'une zone de libre-échange sino-africaine, sans compter les remises de dettes, l'assistance technique, les engagements en matière de tourisme et d'investissement entre autres. La Chine a donc incontestablement une stratégie pour l'Afrique. Mais l'Afrique n'en a visiblement pas une pour la Chine. Face au volontarisme chinois, l'Afrique demeure dans un mutisme déconcertant, figée dans un rôle plus d'observateur que d'acteur dans cette relation aux formes nouvelles, aux contours imprécis et aux enjeux importants pour le continent. L'Afrique réagit plus qu'elle n'agit vis-à-vis de la Chine. Elle répond plus qu'elle ne pose de questions, et suit plus qu'elle ne guide. Enfin elle attend une offre plus qu'elle n'émet une demande. La présente étude n'a pas pour objectif d'indiquer la seule ou la meilleure voie possible. Son ambition se limite à faire le point, le plus complet possible, sur les relations économiques entre l'Afrique et la Chine à travers le commerce, l'investissement et l'aide publique au développement. En présentant les faits et les chiffres les plus récents sur les relations sino-africaines, nous espérons contribuer à améliorer la compréhension de ces relations ainsi que leurs lignes d'évolution.# | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17807 |
La Chine et l'Afrique les faits et les chiffres : évaluation des relations commerciales, de l'investissement et de l'aide publique au développement [texte imprimé] / Cheikh Tidiane Dr DIEYE ; Soutien financier d'OXFAM NOVIB . - [S.l.] : Enda tiers monde, 2012/Septembre . - 98 p. Langues : Français Mots-clés : | COMMERCE BILATERAL INVESTISSEMENT AIDE PUBLIQUE AU DEVELOPPEMENT EXPORTATIONS IMPORTATIONS BALANCE COMMERCIALE PARTENAIRES COMMERCIAUX INFRASTRUCTURES FINANCEMENT ANNULATION DES DETTES PRETS A TAUX PREFERENTIELS ETUDE DE CAS AFRIQUE AFRIQUE DE L'OUEST AFRIQUE AUSTRALE CHINE | Résumé : | Les ambitions de la Chine sur le continent africain ne font plus l'objet d'aucun doute. En 2006, lors du troisième sommet Chine-Afrique de Beijing, la Chine avait publié un livre blanc dans lequel elle dévoilait son plan d'action pour l'Afrique. On y découvre une vision et une stratégie claires, des actions planifiées et des moyens colossaux au service de sa politique. A terme, le projet chinois ambitionne, lorsque les conditions seront appropriées, la création d'une zone de libre-échange sino-africaine, sans compter les remises de dettes, l'assistance technique, les engagements en matière de tourisme et d'investissement entre autres. La Chine a donc incontestablement une stratégie pour l'Afrique. Mais l'Afrique n'en a visiblement pas une pour la Chine. Face au volontarisme chinois, l'Afrique demeure dans un mutisme déconcertant, figée dans un rôle plus d'observateur que d'acteur dans cette relation aux formes nouvelles, aux contours imprécis et aux enjeux importants pour le continent. L'Afrique réagit plus qu'elle n'agit vis-à-vis de la Chine. Elle répond plus qu'elle ne pose de questions, et suit plus qu'elle ne guide. Enfin elle attend une offre plus qu'elle n'émet une demande. La présente étude n'a pas pour objectif d'indiquer la seule ou la meilleure voie possible. Son ambition se limite à faire le point, le plus complet possible, sur les relations économiques entre l'Afrique et la Chine à travers le commerce, l'investissement et l'aide publique au développement. En présentant les faits et les chiffres les plus récents sur les relations sino-africaines, nous espérons contribuer à améliorer la compréhension de ces relations ainsi que leurs lignes d'évolution.# | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17807 |
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