Titre :	Mémoires d'un étudiant africain : De l'Université de Paris à mon retour au Sénégal (1960-1967)
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Amady Aly DIENG
Editeur :	CODESRIA
Année de publication :	2011
Collection :	Série de livres du CODESRIA
Importance :	201 p.
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-86978-494-9
Langues :	Français
Mots-clés :	BIOGRAPHIE  NEOCOLONIALISME  POLITIQUE INDEPENDANCE  ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES  ORGANISATION AFRICAINE  SENEGAL  AFRIQUE DE L'OUEST
Résumé :	Cette deuxième partie de mes mémoires couvre la période postérieure à l'indépendance des pays africains sous domination française. Avec ces indépendances, désormais les étudiants africains qui étalent des Français vont se retrouver avec le statut d'étranger. Ainsi, le gouvernement français, pour réprimer les organisations syndicales ou politiques des étudiants, peut expulser leurs dirigeants. Avec la liquidation des deux grandes fédérations d'AOF et d'AEF consécutive à la mise en application de la loi-cadre Gaston Defferre de 1956, la FEANF va s'affaiblir au profit de ses sections territoriales. Les gouvernements africains vont prendre en charge leurs étudiants et se mettre à réprimer leurs organisations par divers procédés : suppressions de bourses et des subventions aux hôtels habités par des étudiants ressortissants des territoires (Maison de la Côte d'Ivoire, du Gabon, de la Haute Volta, Maison d'AOF du boulevard Poniatowski etc.), création d'associations progouvernementales comme le MEOCAM, UNECI, etc.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17251

Mémoires d'un étudiant africain : De l'Université de Paris à mon retour au Sénégal (1960-1967) [texte imprimé] / Amady Aly DIENG . - [S.l.] : CODESRIA, 2011 . - 201 p.. - (Série de livres du CODESRIA) .
ISBN : 978-2-86978-494-9
Langues : Français

Mots-clés :	BIOGRAPHIE  NEOCOLONIALISME  POLITIQUE INDEPENDANCE  ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES  ORGANISATION AFRICAINE  SENEGAL  AFRIQUE DE L'OUEST
Résumé :	Cette deuxième partie de mes mémoires couvre la période postérieure à l'indépendance des pays africains sous domination française. Avec ces indépendances, désormais les étudiants africains qui étalent des Français vont se retrouver avec le statut d'étranger. Ainsi, le gouvernement français, pour réprimer les organisations syndicales ou politiques des étudiants, peut expulser leurs dirigeants. Avec la liquidation des deux grandes fédérations d'AOF et d'AEF consécutive à la mise en application de la loi-cadre Gaston Defferre de 1956, la FEANF va s'affaiblir au profit de ses sections territoriales. Les gouvernements africains vont prendre en charge leurs étudiants et se mettre à réprimer leurs organisations par divers procédés : suppressions de bourses et des subventions aux hôtels habités par des étudiants ressortissants des territoires (Maison de la Côte d'Ivoire, du Gabon, de la Haute Volta, Maison d'AOF du boulevard Poniatowski etc.), création d'associations progouvernementales comme le MEOCAM, UNECI, etc.
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