Importance : | Numéro Spécial de 2001 (pp.34-35) |
Résumé : | Le recours à des tests relativement coûteux de dépistage du cancer du col utérin seulement après l'identification d'anomalies par des procédures moins coûteuses, n'assure pas la détection de maladie, mais permet toutefois le dépistage d'un beaucoup plus grand nombre de femmes dans les régions dénuées de ressources. DE plus, selon une étude menée aux abords de Cape Town, en Afrique du Sud, les femmes soumises au dépistage du virus du Papillome, à la cervicographie ou au test de Papanicolaou seulement après identification visuelles d'anomalies cervicales, sont moins susceptibles de subir un traitement thérapeutique inutiles que celles pour lesquelles le dépistage s'effectue dés le départ avec l'un de ces tests. |