Importance : | Numéro Spécial (pp.34-35) |
Résumé : | Le recours à des tests relativement coûteux de dépistage du cancer du col de l'utérus seulement après l'identification d'anomalies par des procédures moins coûteuses, n'assure pas la détection de maladies, mais permet toutefois le dépistage d'un beaucoup plus grand nombre de femmes dans les régions dénuées de ressources. De plus, selon une étude menée chez les femmes d'une communauté pauvre aux abords de Cape Town, en Afrique du Sud, les femmes soumises au dépistage du virus du papillome, à la cervicographie et au test de Papanicolaou seulement après identification visuelle d'anomalies cervicales, sont moins susceptibles de subir un traitement thérapeutique inutile, que celles pour lesquelles le dépistage s'effectue dès le départ avec l'un de ces tests. |