Titre :	Transfert de technologie et nationalisation au Ghana : Etudes africaine en politique technologique
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Stephen ADEI
Editeur :	Centre de Recherche pour le Développement International
Année de publication :	1988
Importance :	122 p.
ISBN/ISSN/EAN :	978-0-88936-526-1
Langues :	Français
Mots-clés :	RENTABILITE TECHNOLOGIQUE  TRANSFERT DE TECHNOLOGIE  NATIONALISATION  PRODUCTIVITE INDUSTRIELLE  POLITIQUE TECHNOLOGIQUE  INDUSTRIE DU BOIS  TRANSFORMATION DU BOIS  RENTABILITE  BOIS DE CONSTRUCTION  GHANA  AFRIQUE DE L'OUEST  PAYS EN DEVELOPPEMENT
Résumé :	Quand ils nationalisent des compagnies étrangères, les pays en développement, souvent, ne se demandent pas si ces compagnies ont les compétences technologiques nécessaires à leur bon fonctionnement. Il s'ensuit donc fréquemment que les compagnies nationalisées ne reçoivent pas de ressources techniques, matérielles et institutionnelles suffisantes. L'effet de cette insuffisance est d'autant plus grand chez les compagnies qui, auparavant, dépendaient d'une société transnationale (STN) pour leurs ressources essentielles. Cette étude de l'industrie nationalisée du bois d'ouvre au Ghana porte sur le rendement de deux compagnies - une filiale d'une STN et une compagnie appartenant à un non-Ghanéen résidant dans le pays. La négligence des aspects technologiques avant, pendant et après la nationalisation fait que les gains économiques escomptés ne sont pas réalisés. Cela est surtout vrai de l'ancienne filiale d'une STN. L'étude conclut que la nationalisation de filiation n'est peut-être pas un choix économique viable en l'absence de transfert technologique et lorsque l'Etat se dérobe à ses responsabilités de propriétaire en n'offrant pas les ressources d'exploitation ou en ne les remplaçant pas.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12985

Transfert de technologie et nationalisation au Ghana : Etudes africaine en politique technologique [texte imprimé] / Stephen ADEI . - [S.l.] : Centre de Recherche pour le Développement International, 1988 . - 122 p.
ISBN : 978-0-88936-526-1
Langues : Français

Mots-clés :	RENTABILITE TECHNOLOGIQUE  TRANSFERT DE TECHNOLOGIE  NATIONALISATION  PRODUCTIVITE INDUSTRIELLE  POLITIQUE TECHNOLOGIQUE  INDUSTRIE DU BOIS  TRANSFORMATION DU BOIS  RENTABILITE  BOIS DE CONSTRUCTION  GHANA  AFRIQUE DE L'OUEST  PAYS EN DEVELOPPEMENT
Résumé :	Quand ils nationalisent des compagnies étrangères, les pays en développement, souvent, ne se demandent pas si ces compagnies ont les compétences technologiques nécessaires à leur bon fonctionnement. Il s'ensuit donc fréquemment que les compagnies nationalisées ne reçoivent pas de ressources techniques, matérielles et institutionnelles suffisantes. L'effet de cette insuffisance est d'autant plus grand chez les compagnies qui, auparavant, dépendaient d'une société transnationale (STN) pour leurs ressources essentielles. Cette étude de l'industrie nationalisée du bois d'ouvre au Ghana porte sur le rendement de deux compagnies - une filiale d'une STN et une compagnie appartenant à un non-Ghanéen résidant dans le pays. La négligence des aspects technologiques avant, pendant et après la nationalisation fait que les gains économiques escomptés ne sont pas réalisés. Cela est surtout vrai de l'ancienne filiale d'une STN. L'étude conclut que la nationalisation de filiation n'est peut-être pas un choix économique viable en l'absence de transfert technologique et lorsque l'Etat se dérobe à ses responsabilités de propriétaire en n'offrant pas les ressources d'exploitation ou en ne les remplaçant pas.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12985