Titre : | L'Afrique subsaharienne de la crise à une croissance durable : étude de prospective à long terme | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | BANQUE MONDIALE | Editeur : | Banque Mondiale | Année de publication : | 1989 | Importance : | V-VX-346 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-0-8213-1350-3 | Langues : | Français | Mots-clés : | TRANSFORMATIONS STRUCTURELLES SOIN DE SANTE PRIMAIRE CRISE ECONOMIQUE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE CROISSANCE ECONOMIQUE CROISSANCE DURABLE DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL SECURITE ALIMENTAIRE INVESTISSEMENT REFORME POLITIQUE NUTRITION AGRICULTURE ENSEIGNEMENT PRIMAIRE POLITIQUE ECONOMIQUE AFRIQUE SUBSAHARIENNE | Résumé : | Ce rapport est le fruit de recherches prolongées à l'occasion desquelles on a largement fait appel à des chercheurs, hommes d'affaires privés et hauts fonctionnaires africains, ainsi qu'à un vaste éventail de représentations des bailleurs de fonds. Le rapport s'inspire en outre des nombreuses études qui ont été entreprises par des institutions des Nations Unies et d'Afrique et par des organismes des bailleurs de fonds bilatéraux. Ce rapport est la contribution apportée par la Banque au débat permanent sur la meilleure manière pour l'Afrique d'atteindre ses objectifs de développement. Pour assurer la sécurité alimentaire, créer quelque 350 millions d'emplois et obtenir une amélioration modeste des niveaux de vie pour leur 1,1 milliard d'habitants d'ici 2020 les économies subsahariennes doivent atteindre un rythme de croissance d'au moins 4 pour cent par an. Cela ne sera possible que si des transformations structurelles fondamentales sont apportées aux économies d'Afrique et si elles parviennent à devenir compétitives dans un monde de plus en plus compétitif. Certes des incitations rationnelles et une bonne infrastructure sont essentielles à la création de conditions propices à une utilisation productive des ressources, mais de grands efforts doivent aussi être déployés pour renforcer les capacités africaines. En particulier, il conviendrait de doubler les dépenses consacrées au développement des ressources humaines. Même avec un recentrage de l'action des pouvoirs publics, une augmentation de l'épargne et une amélioration des investissements, l'Afrique devra recevoir pendant au moins dix ans encore une aide extérieure exceptionnelle. Cependant, il ne faut pas s'attendre à un accroissement des apports de ressources extérieures sans des réformes politiques profondes qui mettront en place des structures de gestion de nature à favoriser le développement. Dans le but de bâtir un consensus sur une action commune de tous les partenaires de l'Afrique, le rapport demande la création d'une coalition pour l'Afrique. Pour que les conditions de vie des Africains s'améliorent, il est indispensable que tous les intéressés prennent la résolution d'ouvrer ensemble pour un avenir meilleur. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12983 |
L'Afrique subsaharienne de la crise à une croissance durable : étude de prospective à long terme [texte imprimé] / BANQUE MONDIALE . - [S.l.] : Banque Mondiale, 1989 . - V-VX-346 p. ISBN : 978-0-8213-1350-3 Langues : Français Mots-clés : | TRANSFORMATIONS STRUCTURELLES SOIN DE SANTE PRIMAIRE CRISE ECONOMIQUE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE CROISSANCE ECONOMIQUE CROISSANCE DURABLE DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL SECURITE ALIMENTAIRE INVESTISSEMENT REFORME POLITIQUE NUTRITION AGRICULTURE ENSEIGNEMENT PRIMAIRE POLITIQUE ECONOMIQUE AFRIQUE SUBSAHARIENNE | Résumé : | Ce rapport est le fruit de recherches prolongées à l'occasion desquelles on a largement fait appel à des chercheurs, hommes d'affaires privés et hauts fonctionnaires africains, ainsi qu'à un vaste éventail de représentations des bailleurs de fonds. Le rapport s'inspire en outre des nombreuses études qui ont été entreprises par des institutions des Nations Unies et d'Afrique et par des organismes des bailleurs de fonds bilatéraux. Ce rapport est la contribution apportée par la Banque au débat permanent sur la meilleure manière pour l'Afrique d'atteindre ses objectifs de développement. Pour assurer la sécurité alimentaire, créer quelque 350 millions d'emplois et obtenir une amélioration modeste des niveaux de vie pour leur 1,1 milliard d'habitants d'ici 2020 les économies subsahariennes doivent atteindre un rythme de croissance d'au moins 4 pour cent par an. Cela ne sera possible que si des transformations structurelles fondamentales sont apportées aux économies d'Afrique et si elles parviennent à devenir compétitives dans un monde de plus en plus compétitif. Certes des incitations rationnelles et une bonne infrastructure sont essentielles à la création de conditions propices à une utilisation productive des ressources, mais de grands efforts doivent aussi être déployés pour renforcer les capacités africaines. En particulier, il conviendrait de doubler les dépenses consacrées au développement des ressources humaines. Même avec un recentrage de l'action des pouvoirs publics, une augmentation de l'épargne et une amélioration des investissements, l'Afrique devra recevoir pendant au moins dix ans encore une aide extérieure exceptionnelle. Cependant, il ne faut pas s'attendre à un accroissement des apports de ressources extérieures sans des réformes politiques profondes qui mettront en place des structures de gestion de nature à favoriser le développement. Dans le but de bâtir un consensus sur une action commune de tous les partenaires de l'Afrique, le rapport demande la création d'une coalition pour l'Afrique. Pour que les conditions de vie des Africains s'améliorent, il est indispensable que tous les intéressés prennent la résolution d'ouvrer ensemble pour un avenir meilleur. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12983 |
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