Titre de série : | LE JOURNAL DU SIDA | Titre : | Médecins : l'implacable logique de la spécialisation | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Nathalie CHAHINE | Année de publication : | 1996/05 | Importance : | N°85 (pp.10-12) | ISBN/ISSN/EAN : | 1153-0863 | Langues : | Français | Mots-clés : | PERSONNE SEROPOSITIVE SUIVI PATIENT MEDECIN MORTALITE INFECTION A VIH PATIENT PRISE EN CHARGE PAYS DEVELOPPES FRANCE | Résumé : | Efficacité thérapeutique et expérience sont indissociables. Ce constat, connu depuis longtemps en médecine serait également applicable à la prise en charge de l'infection par le VIH. La première confirmation de ce qui relevait auparavant de l'impression remonte à 1989. Une équipe américaine constatait alors que la mortalité des patients infectés par le VIH et admis à l'hôpital en 1987-1988 pour faire soigner une pneumonie était nettement inférieure dans les établissements expérimentés dans la prise en charge de l'infection pat le VIH que dans ceux qui l'étaient peu (12 pourcent vers 33 pourcent). Une autre étude, effectuée trois ans plus tard, poussait plus loin l'analyse en examinant des données de patients, elles aussi recueillies au cours des années 1987-1988, mais qui prennent en compte les personnes admises à l'hôpital pour le traitement d'infections opportunistes. Les auteurs observaient alors le même phénomène, à savoir une mortalité deux fois plus élevée (19 pourcent contre 9,8 pourcent) dans les centres non spécialisés que dans ceux prenant en charge le plus grand nombre de patients infectés par le VIH(entre 43 et 229 pour 10.000 actes). | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12817 |
LE JOURNAL DU SIDA. Médecins : l'implacable logique de la spécialisation [texte imprimé] / Nathalie CHAHINE . - 1996/05 . - N°85 (pp.10-12). ISSN : 1153-0863 Langues : Français Mots-clés : | PERSONNE SEROPOSITIVE SUIVI PATIENT MEDECIN MORTALITE INFECTION A VIH PATIENT PRISE EN CHARGE PAYS DEVELOPPES FRANCE | Résumé : | Efficacité thérapeutique et expérience sont indissociables. Ce constat, connu depuis longtemps en médecine serait également applicable à la prise en charge de l'infection par le VIH. La première confirmation de ce qui relevait auparavant de l'impression remonte à 1989. Une équipe américaine constatait alors que la mortalité des patients infectés par le VIH et admis à l'hôpital en 1987-1988 pour faire soigner une pneumonie était nettement inférieure dans les établissements expérimentés dans la prise en charge de l'infection pat le VIH que dans ceux qui l'étaient peu (12 pourcent vers 33 pourcent). Une autre étude, effectuée trois ans plus tard, poussait plus loin l'analyse en examinant des données de patients, elles aussi recueillies au cours des années 1987-1988, mais qui prennent en compte les personnes admises à l'hôpital pour le traitement d'infections opportunistes. Les auteurs observaient alors le même phénomène, à savoir une mortalité deux fois plus élevée (19 pourcent contre 9,8 pourcent) dans les centres non spécialisés que dans ceux prenant en charge le plus grand nombre de patients infectés par le VIH(entre 43 et 229 pour 10.000 actes). | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12817 |
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