Titre : | Reworking Apartheid Legacies Global Competition, Gender and Social Wages in South Africa, 1980-2000 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Gillian HART | Editeur : | UNRISD | Année de publication : | 2002 | Autre Editeur : | United nations development programme | Collection : | Social policy and development programme number 13 | Importance : | 31p | ISBN/ISSN/EAN : | 1020-8208 | Langues : | Anglais | Mots-clés : | CHANGEMENT ORGANISATIONNEL UTILISATION DE LA MAIN D'OEUVRE POLITIQUE SOCIALE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE PRODUCTION INDUSTRIELLE APARTHEID DEVELOPPEMENT HUMAIN INTEGRATION ECONOMIQUE POLITIQUE GOUVERNEMENTALE ETUDE DE CAS AFRIQUE DU SUD | Résumé : | Gillian Hart examine ici l'évolution des relations entre la production industrielle à forte intensité de travail et les conditions de reproduction de la main-d'ouvre en Afrique du Sud entre 1980 et 2000. Au début des années 1980, le régime d'apartheid était généreux lorsqu'il s'agissait d'inciter des industries à forte intensité de travail à s'implanter dans des zones de décentralisation industrielle, à l'intérieur ou a proximité des anciens bantoustans. Les industries légères, pour beaucoup originaires du Taiwan (Province de Chine) et employant une main-d'ouvre essentiellement féminine, poussèrent comme des champignons dans ces zones, tandis que le nombre d'industries lourdes à forte intensité de capital diminua dans les grandes agglomérations urbaines. En 1991, le gouvernement de Klerk, face aux critiques virulentes de la part de puissants intérêts économiques sud-africains, réduisit considérablement les subventions. Depuis 1995, l'Etat de l'après-apartheid fait des investissements étrangers directs (IED) et de la production pour l'exportation la pièce maîtresse de sa politique néolibérale. A ce jour, pourtant, cette politique n'a pas, selon Gililan Hart, tenu ses promesses. Des importations bon marché ont provoqué une contraction de l'emploi dans les industries à fort coefficient de main-d'ouvre, les IED ont été minimes et les impératifs néolibéraux ont fait obstacle à une politique sociale de redistribution. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12180 |
Reworking Apartheid Legacies Global Competition, Gender and Social Wages in South Africa, 1980-2000 [texte imprimé] / Gillian HART . - [S.l.] : UNRISD : [S.l.] : United nations development programme, 2002 . - 31p. - ( Social policy and development programme number 13) . ISSN : 1020-8208 Langues : Anglais Mots-clés : | CHANGEMENT ORGANISATIONNEL UTILISATION DE LA MAIN D'OEUVRE POLITIQUE SOCIALE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE PRODUCTION INDUSTRIELLE APARTHEID DEVELOPPEMENT HUMAIN INTEGRATION ECONOMIQUE POLITIQUE GOUVERNEMENTALE ETUDE DE CAS AFRIQUE DU SUD | Résumé : | Gillian Hart examine ici l'évolution des relations entre la production industrielle à forte intensité de travail et les conditions de reproduction de la main-d'ouvre en Afrique du Sud entre 1980 et 2000. Au début des années 1980, le régime d'apartheid était généreux lorsqu'il s'agissait d'inciter des industries à forte intensité de travail à s'implanter dans des zones de décentralisation industrielle, à l'intérieur ou a proximité des anciens bantoustans. Les industries légères, pour beaucoup originaires du Taiwan (Province de Chine) et employant une main-d'ouvre essentiellement féminine, poussèrent comme des champignons dans ces zones, tandis que le nombre d'industries lourdes à forte intensité de capital diminua dans les grandes agglomérations urbaines. En 1991, le gouvernement de Klerk, face aux critiques virulentes de la part de puissants intérêts économiques sud-africains, réduisit considérablement les subventions. Depuis 1995, l'Etat de l'après-apartheid fait des investissements étrangers directs (IED) et de la production pour l'exportation la pièce maîtresse de sa politique néolibérale. A ce jour, pourtant, cette politique n'a pas, selon Gililan Hart, tenu ses promesses. Des importations bon marché ont provoqué une contraction de l'emploi dans les industries à fort coefficient de main-d'ouvre, les IED ont été minimes et les impératifs néolibéraux ont fait obstacle à une politique sociale de redistribution. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12180 |
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