Titre de série :	LE JOURNAL DU SIDA
Titre :	Toxicomanie, traitement antirétroviral et discrimination
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Joelle MARASCHIN
Année de publication :	1998/02/01
Importance :	N°102 (p.13)
ISBN/ISSN/EAN :	1153-0863
Langues :	Français
Mots-clés :	PERSONNE SEROPOSITIVE  SERINGUE  EXAMEN CLINIQUE  USAGE DE DROGUE  TRAITEMENT ANTIRETROVIRAL  TRANSMISSION PAR USAGE DE DROGUE INJECTABLE  INFECTION A VIH  PATIENT  PAYS DEVELOPPES  PAYS EN DEVELOPPEMENT
Résumé :	Une première étude de cohorte auprès des personnes infectées par le VIH par voie intraveineuse montre que l'accès au traitement antirétroviral reste plus problématique en France pour les toxicomanes actifs que pour les abstinents. Les critères d'inclusion dans Manif 2000 sont notamment la séropositivité pour le VIH1 et une contamination présumée par voie intraveineuse. Mais une première analyse de Manif 2000 révèle qu'il existe bel et bien une discrimination envers les toxicomanes actifs. Globalement, 60 pourcent des patients n'ont encore jamais reçu de traitement antirétroviral. Les abstinents ont cinq fois plus de chances de recevoir un traitement que les patients perçus par le corps médical comme toxicomanes actifs.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12064

LE JOURNAL DU SIDA. Toxicomanie, traitement antirétroviral et discrimination [texte imprimé] / Joelle MARASCHIN . - 1998/02/01 . - N°102 (p.13).
ISSN : 1153-0863
Langues : Français

Mots-clés :	PERSONNE SEROPOSITIVE  SERINGUE  EXAMEN CLINIQUE  USAGE DE DROGUE  TRAITEMENT ANTIRETROVIRAL  TRANSMISSION PAR USAGE DE DROGUE INJECTABLE  INFECTION A VIH  PATIENT  PAYS DEVELOPPES  PAYS EN DEVELOPPEMENT
Résumé :	Une première étude de cohorte auprès des personnes infectées par le VIH par voie intraveineuse montre que l'accès au traitement antirétroviral reste plus problématique en France pour les toxicomanes actifs que pour les abstinents. Les critères d'inclusion dans Manif 2000 sont notamment la séropositivité pour le VIH1 et une contamination présumée par voie intraveineuse. Mais une première analyse de Manif 2000 révèle qu'il existe bel et bien une discrimination envers les toxicomanes actifs. Globalement, 60 pourcent des patients n'ont encore jamais reçu de traitement antirétroviral. Les abstinents ont cinq fois plus de chances de recevoir un traitement que les patients perçus par le corps médical comme toxicomanes actifs.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12064