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Auteur Chrispin PETTANG |
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BULLETIN AFRICAIN : BIORESSOURCES - ENERGIE - DEVELOPPEMENT - ENVIRONNEMENT. Le béton de nodules latéritiques armé de fibres végétales : Une alternative pour l'habitat économique dans le Tiers Monde / Amos FOUDJET
Titre de série : BULLETIN AFRICAIN : BIORESSOURCES - ENERGIE - DEVELOPPEMENT - ENVIRONNEMENT Titre : Le béton de nodules latéritiques armé de fibres végétales : Une alternative pour l'habitat économique dans le Tiers Monde Type de document : texte imprimé Auteurs : Amos FOUDJET ; Chrispin PETTANG Année de publication : 2000/12 Importance : N°12 (PP. 12-20) Langues : Français Mots-clés : NODULES LATERITIQUES HABITAT ECONOMIQUE LATERITE CONSTRUCTION EN BOIS CONSTRUCTION EN BETON BETON MATERIAU DE CONSTRUCTION FIBRE VEGETALE BAMBOU HABITAT COUT GESTION DES RESSOURCES NATURELLES AFRIQUE Résumé : La première partie de ce travail concerne l'exposé de l'amélioration de l'adhérence entre une armature en fibres végétales et le béton, en utilisant une structure périodique de confinement. Nous avons utilisé du béton de nodules latéritiques dans lequel le gravier est remplacé par des nodules latéritiques. L'adhérence béton-bambou ou béton rotin comme le montrent la littérature ainsi que les essais effectués dans notre laboratoire est très faible. Elle varie de 0,1Mpa à 2,6 Mpa contre 25 Mpa pour l'adhérence acier (haute adhérence) - béton. L'originalité consiste à utiliser des cadres (armatures principales dont les deux bouts se prolongent dans la partie comprimée de la poutre) pour reprendre le moment fléchissant. Nous obtenons une adhérence apparente variant de 2,80 Mpa à 5,40Mpa à 100 Mpa [10], cette valeur pouvant atteindre 20 Mpa dans le cas du bambou. Il est aussi exposé les résistances du béton de nodules latéritiques dont les essais ont été conduits dans notre laboratoire [11] et qui sont comparées à celles du béton ordinaire. On trouve une valeur de 16Mpa en compression pour le béton de nodules latéritiques (BNL) contre 18 Mpa pour le béton ordinaire (BO) et une valeur de 2,50 Mpa en traction pour le BNL contre 4,40 Mpa pour le BO. La deuxième partie est une application pratique de l'approche théorique simple de calcul des sous ouvrages de génie civil mise au point par Pettant et al [12] pour évaluer le gain que ce nouveau matériau apporte par rapport au béton ordinaire. Celui-ci varie de 14 pour cent à 72 pour cent selon les sous ouvrages. Le BNL présente un grand avantage lorsqu'on veut construire dans une zone où il n'y a que des nodules latéritiques. De plus la matière végétale utilisée (bambou) comme armatures peut être cultivée et permettre la création de petits emplois de proximité. Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11511 BULLETIN AFRICAIN : BIORESSOURCES - ENERGIE - DEVELOPPEMENT - ENVIRONNEMENT. Le béton de nodules latéritiques armé de fibres végétales : Une alternative pour l'habitat économique dans le Tiers Monde [texte imprimé] / Amos FOUDJET ; Chrispin PETTANG . - 2000/12 . - N°12 (PP. 12-20).
Langues : Français
Mots-clés : NODULES LATERITIQUES HABITAT ECONOMIQUE LATERITE CONSTRUCTION EN BOIS CONSTRUCTION EN BETON BETON MATERIAU DE CONSTRUCTION FIBRE VEGETALE BAMBOU HABITAT COUT GESTION DES RESSOURCES NATURELLES AFRIQUE Résumé : La première partie de ce travail concerne l'exposé de l'amélioration de l'adhérence entre une armature en fibres végétales et le béton, en utilisant une structure périodique de confinement. Nous avons utilisé du béton de nodules latéritiques dans lequel le gravier est remplacé par des nodules latéritiques. L'adhérence béton-bambou ou béton rotin comme le montrent la littérature ainsi que les essais effectués dans notre laboratoire est très faible. Elle varie de 0,1Mpa à 2,6 Mpa contre 25 Mpa pour l'adhérence acier (haute adhérence) - béton. L'originalité consiste à utiliser des cadres (armatures principales dont les deux bouts se prolongent dans la partie comprimée de la poutre) pour reprendre le moment fléchissant. Nous obtenons une adhérence apparente variant de 2,80 Mpa à 5,40Mpa à 100 Mpa [10], cette valeur pouvant atteindre 20 Mpa dans le cas du bambou. Il est aussi exposé les résistances du béton de nodules latéritiques dont les essais ont été conduits dans notre laboratoire [11] et qui sont comparées à celles du béton ordinaire. On trouve une valeur de 16Mpa en compression pour le béton de nodules latéritiques (BNL) contre 18 Mpa pour le béton ordinaire (BO) et une valeur de 2,50 Mpa en traction pour le BNL contre 4,40 Mpa pour le BO. La deuxième partie est une application pratique de l'approche théorique simple de calcul des sous ouvrages de génie civil mise au point par Pettant et al [12] pour évaluer le gain que ce nouveau matériau apporte par rapport au béton ordinaire. Celui-ci varie de 14 pour cent à 72 pour cent selon les sous ouvrages. Le BNL présente un grand avantage lorsqu'on veut construire dans une zone où il n'y a que des nodules latéritiques. De plus la matière végétale utilisée (bambou) comme armatures peut être cultivée et permettre la création de petits emplois de proximité. Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11511 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11399 EDOCS-121/FOU/4927 Article de presse Bibliothèque ENDA indéterminé Exclu du prêt