Titre :	Stakeholder participation in policy processes in Ethiopia
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Worku TESSEMA
Editeur :	IIED
Année de publication :	2000/07
Autre Editeur :	SOS SAHEL
Collection :	Drylands programme managing Africa's soils N°17
Importance :	25p
ISBN/ISSN/EAN :	1560-3520
Langues :	Anglais Français
Mots-clés :	POLITIQUE AGRICOLE  ECONOMIE  AGRICULTURE  DEGRADATION DE L'ENVIRONNEMENT  POLITIQUE GOUVERNEMENTALE  ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE  PARTENARIAT  DEVELOPPEMENT RURAL  ETHIOPIE
Résumé :	L'économie éthiopienne dépend en grande partie de son agriculture dont la productivité est limitée par la dégradation de l'environnement. Les paysans sont bien conscients de ce problème et utilisent un certain nombre de stratégies pour gérer la fertilité des sols et améliorer ainsi la production. L'impact de ces méthodes est souvent influencé par la politique gouvernementale mais les paysans participent à peine à sa formulation et à son application. L'objectif de cette étude est d'arriver à mieux comprendre le processus politiques en Ethiopie. Deux axes, la politique environnementale et la politique de vulgarisation, ont été analysés pour la région "Southern Nations, Nationalities and Peoples" et l'Etat de la région nationale d'Amhara, respectivement. Un politique fédérale sur l'environnement a été édicté en 1997, après avoir passé par plusieurs stades de formulation depuis 1989. Son application est encore à ses débuts. Le développement de stratégies de conservation régionale (RCS) a commencé en 1992 et elles sont maintenant presque prêtes. Ces deux régions on travaillé au moyens de groupes d'étude et de comités de coordination régionale, avec divers ministères et experts participant aux consultations. Des rapports préliminaires furent examinés durant des ateliers de travail auxquels d'autres parties prenantes étaient invitées, telles que des anciens et des chefs religieux. Beaucoup pensent que la RCS est importante mais expriment aussi des doutes quant à son application. Il reste encore des incertitudes concernant les arrangements institutionnels et l'allocation des ressources.
Permalink :	http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10472

Stakeholder participation in policy processes in Ethiopia [texte imprimé] / Worku TESSEMA . - [S.l.] : IIED : [S.l.] : SOS SAHEL, 2000/07 . - 25p. - (Drylands programme managing Africa's soils N°17) .
ISSN : 1560-3520
Langues : Anglais Français

Mots-clés :	POLITIQUE AGRICOLE  ECONOMIE  AGRICULTURE  DEGRADATION DE L'ENVIRONNEMENT  POLITIQUE GOUVERNEMENTALE  ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE  PARTENARIAT  DEVELOPPEMENT RURAL  ETHIOPIE
Résumé :	L'économie éthiopienne dépend en grande partie de son agriculture dont la productivité est limitée par la dégradation de l'environnement. Les paysans sont bien conscients de ce problème et utilisent un certain nombre de stratégies pour gérer la fertilité des sols et améliorer ainsi la production. L'impact de ces méthodes est souvent influencé par la politique gouvernementale mais les paysans participent à peine à sa formulation et à son application. L'objectif de cette étude est d'arriver à mieux comprendre le processus politiques en Ethiopie. Deux axes, la politique environnementale et la politique de vulgarisation, ont été analysés pour la région "Southern Nations, Nationalities and Peoples" et l'Etat de la région nationale d'Amhara, respectivement. Un politique fédérale sur l'environnement a été édicté en 1997, après avoir passé par plusieurs stades de formulation depuis 1989. Son application est encore à ses débuts. Le développement de stratégies de conservation régionale (RCS) a commencé en 1992 et elles sont maintenant presque prêtes. Ces deux régions on travaillé au moyens de groupes d'étude et de comités de coordination régionale, avec divers ministères et experts participant aux consultations. Des rapports préliminaires furent examinés durant des ateliers de travail auxquels d'autres parties prenantes étaient invitées, telles que des anciens et des chefs religieux. Beaucoup pensent que la RCS est importante mais expriment aussi des doutes quant à son application. Il reste encore des incertitudes concernant les arrangements institutionnels et l'allocation des ressources.
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